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4 février 2017 : journée mondiale de lutte contre le cancer

01 Fév 2017 | Par INSERM (Salle de presse) | Journée mondiale

cancer cell

©Fotolia

La journée mondiale de lutte contre le cancer qui aura lieu le 4 février prochain, sera l’occasion de sensibiliser le grand public à la prévention, à la détection et au traitement de cette maladie.

Les chercheurs Inserm restent mobilisés pour faire avancer la recherche, tant sur l’amélioration de la prise en charge des patients, que sur l’efficience des thérapies existantes ou l’amélioration du diagnostic de certains cancers. Voici quelques exemples choisis parmi les plus récents.

Des chercheurs de l’unité Inserm 1121 « Biomatériaux et Bioingénierie » (Inserm/ Université de Strasbourg) ont amélioré le larynx artificiel qu’ils avaient mis au point il y a 5 ans et optimisé leur technique chirurgicale. Ainsi, un patient atteint d’un cancer qui avait subi une laryngectomie, porte cet implant depuis 18 mois, ce qui lui permet de respirer par la bouche et le nez, de retrouver la voix et l’olfaction, améliorant ainsi sa vie au quotidien.

Retrouvez le communiqué «Un patient bénéficie d’un larynx artificiel depuis 18 mois », publié le 17 janvier 2017.

Les membres du « Centre d’infection et immunité de Lille » (Inserm/CNRS/Université de Lille/Institut Pasteur de Lille), au sein de l’unité Inserm 1019, ont identifié la nature et le mode d’action d’espèces bactériennes capables d’optimiser la réponse anti-tumorale induite par la chimiothérapie. Ils ont ainsi mis en évidence le rôle essentiel du microbiote intestinal dans l’efficacité de la chimiothérapie.

Retrouvez le communiqué « Le microbiote intestinal à la rescousse des chimiothérapies », publié le 5 octobre 2016.

En octobre 2016, l’Inserm a inauguré son premier accélérateur technologique (ART). Basé à Paris, l’ART « ultrasons biomédicaux » est dédié à la recherche et à l’utilisation des ultrasons, notamment dans le domaine du diagnostic et du traitement des cancers.

Retrouvez le communiqué « Création du premier accélérateur de recherche technologique de l’Inserm », publié le 26 octobre 2016.

Des chercheurs de l’Université Paris Descartes, de l’AP-HP et de l’Inserm ont mis au point une méthode rendant possible l’utilisation à large échelle de l’ADN tumoral circulant chez les patients atteints de cancer du poumon et du pancréas. A terme, cette méthode sera largement utilisée dans les différentes plateformes de Biologie Moléculaire, pour améliorer le diagnostic de certains cancers et guider la prescription des traitements.

Retrouvez le communiqué « Vers une amélioration du diagnostic de certains cancers », publié le 28 septembre 2016.

Contacts
Contact Chercheur

Microbiote intestinal et chimiothérapie

Mathias Chamaillard

Directeur de recherche Inserm

Unité 1019 « Centre d’infection et immunité de Lille » (Inserm/CNRS/Université de Lille/Institut Pasteur de Lille)

+33 (0)3 59 31 74 27

rf.mresni@dralliamahc.saihtam

Laurence Zitvogel

Directrice de l’Unité 1015 « Immunologie des tumeurs et immunothérapie » (Inserm/Institut Gustave Roussy/Université Paris-Sud)

+33 (0)1 42 11 50 41

rf.rgi@legovtiz.ecnerual

Larynx artificiel

Christian Debry

Chercheur à l’unité Inserm 1121 « Biomatériaux et Bioingénierie » (Inserm/Université de Strasbourg),

Chef de service –  ORL et chirurgie cervico-faciale, CHU de Strasbourg Hautepierre

+33 (0)3 88 12 76 44

rf.gbsarts-uhc@yrbed

ADN tumoral circulant

Pierre-Yves Clausse

Chercheur à l’université Paris Descartes

+33 (0)1 76 53 17 98

rf.setracsedsirap@esserp

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