Contact Chercheur
Chercheur CNRS
Denis Peschanski
T +33 (0)6 85 66 20 87
qravf.crfpunafxv@havi-cnevf1.se
Chercheur Inserm l EPHE
Francis Eustache
+33 (0)2 31 47 02 80 / +33 (0)2 31 56 83 77
senapvf.rhfgnpur@havpnra.se
Un an après les attentats du 13 novembre, l’enquête “Conditions de vie et Aspirations” du CRÉDOC, dans le cadre du programme 13 novembre initié par l’Inserm, le CNRS et héSam Université, rend compte de l’empreinte forte des attentats sur la population française, en particulier chez les jeunes.
Un échantillon de 2000 personnes représentatif de la population française a répondu à une série de questions telles que “Pouvez-vous citer les actes terroristes commis dans le monde ou en France qui vous ont le plus marqué depuis l’an 2000? ; quelles sont les principales conséquences des attentats du 13 novembre 2015? “.
On apprend de cette enquête notamment que:
80% des français se disent marqués par les attentats du 13 novembre 2015 alors même que les trois quart n’ont aucun lien personnel avec les victimes ou les lieux concernés.
65% des 18-24 ans et 63% des 25-39 ans manifestent un sentiment de peur exacerbé, contre 54% de leurs aînés
L’existence de tensions culturelles et religieuses au sein de la société est la raison la plus souvent invoquée pour expliquer les attentats et pour près de 40% de la population, ce sont des actes inexplicables.
26% des Français ont un lien personnel avec les événements (victime, témoin, fréquentation des lieux) et 25% estiment qu’on parle trop du 13 novembre.
Note : les entretiens ont été menés avant les attentats de Nice le 14 juillet et de Saint-Etienne du Rouvray le 26 juillet 2016.
Chercheur CNRS
Denis Peschanski
T +33 (0)6 85 66 20 87
qravf.crfpunafxv@havi-cnevf1.se
Chercheur Inserm l EPHE
Francis Eustache
+33 (0)2 31 47 02 80 / +33 (0)2 31 56 83 77
senapvf.rhfgnpur@havpnra.se