
Dans un nouveau rapport, les chercheurs de l’Inserm se sont penchés sur la cryothérapie, une technique exposant l’organisme pendant 2 à 3 minutes à un froid intense allant de -110 à -170°C.
L’infection virale Zika est toujours un problème de santé publique mondial. Son agent pathogène est le virus Zika transmis par les moustiques du genre Aedes. Depuis 2007, de nombreuses épidémies ont été recensées en Asie et en Afrique, et plus récemment en Amérique centrale et en Amérique du Sud. Si le virus est bien connu par les chercheurs et médecins, la fréquence d’apparition des complications neurologiques, leurs tableaux cliniques et leurs pronostics restent encore très énigmatiques. Dans une étude publiée dans Neurology, des équipes de chercheurs français*ont réussi à lever le voile sur les effets à long terme de ce virus.
Moins de 5 min, c’est effectivement le temps que mettent nos différents organes vitaux (cœur et cerveau notamment) pour détecter puis adapter leur fonctionnement à un changement de lumière dans l’environnement. Tels sont les résultats d’une nouvelle étude publiée par Claude Gronfier neurobiologiste à l’Inserm et son équipe basée au Centre de recherche en neurosciences de Lyon. Ces travaux viennent d’être publiés dans la revue Frontiers in Neurosciences et dans le Journal of Pineal Research.
L’Inserm s’illustre cette année avec 4 jeunes chercheurs sélectionnés dans la catégorie science de la vie
Pour estimer l’état de santé des séniors, le personnel médical dispose de différents outils cliniques : échelles d’évaluation gériatrique, questionnaires de santé et score de fragilité. Cependant, si ces tests sont adaptés à un contexte médicalisé, ils sont plus difficiles à mettre en place pour les médecins généralistes, car ils réclament du temps et du matériel dont ne disposent pas toujours les praticiens. Pour évaluer l’état de santé général de leurs patients séniors, les généralistes se basent en premier lieu sur une connaissance approfondie du patient ainsi que sur un ensemble de signaux qu’ils détectent chez lui lors de la consultation (apparence physique, façon de se déplacer…).
L’équipe VirPath du CIRI, en collaboration avec le laboratoire du Dr Guy Boivin (chaire de recherche du Canada sur les virus émergents, a développé et validé une stratégie innovante qui consiste à identifier et exploiter directement des échantillons infectieux prélevés cliniquement, afin de sélectionner et d’utiliser des médicaments déjà commercialisés pour soigner d’autres virus (on parle alors de « repositionnement de médicaments »). Ce programme a été financé par l’Inserm, la DGOS, l’Agence National de la Recherche, la Région Auvergne Rhône-Alpes, l’Université Claude Bernard et l’Université Laval.
Chez l’Homme, la “théorie de l’esprit” est la capacité qui permet de comprendre les états mentaux des autres : ce qu’ils pensent, ce qu’ils ressentent, ce qu’ils veulent, ce qu’ils aiment…. Elle joue un rôle majeur dans les interactions sociales humaines.
Une récente étude menée par des chercheurs Inserm de l’Unité 1181 « Biostatistique, Biomathématique, Pharmacoépidémiologie et Maladies Infectieuses », révèle que les Françaises sont parmi les plus grandes consommatrices de médicaments à travers le monde et se voient prescrire en moyenne, près d’une dizaine de médicaments durant leur grossesse.