
L’Inserm vous souhaite de bonnes fêtes de fin d’année. Retrouvez les temps forts de l’année 2016.
Pour la première fois en France, un couple vient d’obtenir l’autorisation de confier à une société privée la conservation des cellules du cordon ombilical de leur enfant à naître, en vue d’une potentielle nécessité thérapeutique.
Depuis jeudi 8 décembre, les principaux services informatiques de l’Inserm dont la messagerie ont été indisponibles. Le rétablissement de la messagerie est effectif depuis Lundi 12 décembre vers 14h.
Comment vit-on en apesanteur ? Quel est le quotidien sur la Station Spatiale Internationale ? A quoi ressemble la Terre vue de l’espace ? Quels sont les objectifs de la mission Proxima ? Autant de questions que se posent les jeunes et auxquelles Thomas Pesquet répondra en direct depuis la Station Spatiale Internationale, lors de ce duplex organisé par l’académie des sciences en partenariat avec l’Inserm et le CNES. Ce moment sera suivi d’échanges avec les chercheurs, notamment ceux de l’Inserm, collaborant avec l’astronaute.
Thomas Pesquet, l’astronaute français de l’ESA décollera le 17 novembre 2016 pour la station spatiale internationale ISS, depuis Baïkonour (Kazakhstan).
Face à un événement traumatique, tels que les attentats de Paris le 13 novembre 2015 et de Nice le 14 juillet 2016, le risque de développer un trouble de stress post-traumatique (TSPT) pour les victimes et témoins, est élevé.
Le diabète correspond à un excès permanent de sucre dans le sang : l’hyperglycémie. On distingue deux types principaux : le diabète de type 1, maladie auto-immune caractérisée par une production insuffisante d’insuline, et le diabète de type 2, résultant d’une mauvaise utilisation de cette hormone par l’organisme. Cette pathologie peut entrainer des complications au niveau des nerfs, des vaisseaux sanguins, du cœur, des yeux et des reins.[1]
Dans la nuit de samedi 29 octobre à dimanche 30 octobre 2016, à A 3 heures il sera 2 heures. Ce changement d’heure n’est pas sans effets sur la physiologie humaine et sur la santé.
Lorsque, en avril 1784, Benjamin Franklin écrit dans le Journal de Paris qu’il suffirait d’avancer l’horaire du lever en hiver pour réduire la consommation de bougies et réduire la pollution, il avait raison. Lorsqu’il clame que le nouvel horaire serait difficile à vivre pendant deux ou trois jours seulement car « ce n’est que le premier pas qui coûte », il avait tort.
La littérature scientifique montre que le changement d’heure peut induire des troubles du sommeil, de la vigilance, des accidents de la route, des dépressions, des suicides, et des infarctus du myocarde.
Un accident vasculaire cérébral (AVC) survient lorsque la circulation sanguine vers le cerveau est interrompue par la formation d’un caillot sanguin obstruant une artère cérébrale, il s’agit d’un infarctus cérébral, ou par la rupture d’une artère cérébrale, correspondant alors à une hémorragie cérébrale ou méningée.[1] En conséquence, les cellules nerveuses privées d’oxygène et des nutriments nécessaires meurent, entrainant des dommages irréversibles voire une mort subite.
D’après le bulletin hebdomadaire du réseau Sentinelles du 19 octobre 2016, le taux d’incidence des cas de diarrhée aiguë a franchi le seuil épidémique en France métropolitaine la semaine dernière, avec 155 cas observés en consultation de médecine générale pour 100 000 habitants.
Le réseau Sentinelles précise que l’activité actuelle de la gastro-entérite est supérieure à l’activité moyenne observée les années précédentes à la même période. Les régions Grand-Est, Ile de France et Pays de la Loire sont particulièrement touchées, avec des taux d’incidence respectifs estimés à 297, 213 et 211 cas pour 100 000 habitants.