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700 000 : c’est le nombre de personnes en France qui seraient concernées par le trouble du spectre de l’autisme (TSA). Si les recherches scientifiques pour mieux comprendre le TSA ont largement progressé, en particulier au cours des vingt dernières années, les mécanismes biologiques impliqués et les causes de l’autisme restent encore mal compris.
A l’approche de la Journée mondiale de sensibilisation à l’autisme qui a lieu le le 2 avril, l’Inserm fait un point sur l’évolution ainsi que sur l’état des recherches scientifiques qui tentent de mieux définir les différents facteurs de risque et leur part dans le développement du TSA.
« Exposition aux écrans, une cause de l’autisme, vraiment ? »
Les causes du TSA sont multifactorielles. L’impact d’une vulnérabilité génétique, vraisemblablement multigénique, a pu être mis en évidence dans différents travaux. Par ailleurs, des facteurs de risques environnementaux sont aujourd’hui étudiés et joueraient aussi un rôle, même s’il reste encore du travail pour bien les caractériser.
La recherche tente actuellement de mieux définir ces différents facteurs de risque et leur part dans le développement des troubles mais aussi de déterminer comment ils se combinent. Dans son récent article « Exposition aux écrans, une cause de l’autisme, vraiment ? », Canal Détox fait le point sur ce que l’on sait à l’heure actuelle et sur les enjeux de la recherche dans les années à venir.
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