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Bénédicte LEYNAERT
U 700 Physiopathologie et épidémiologie de l’insuffisance respiratoire
orarqvpgr.yrlanreg@vafrez.se
©Fotolia
Une étude dirigée par le Pr Innes Asher de l’université de Auckland aux Etats-Unis vient de démontrer que la nourriture servie dans les fast-food serait impliquée dans des maladies respiratoires et dans les allergies chroniques sévères telles que la rhinite allergique, l’eczéma ou encore l’asthme sévère. Publiée dans la revue Thorax, cette étude a été menée auprès de 319 000 adolescents âgés entre 11 et 14 ans et 180 000 enfants de 6 à 7 ans. En s’appuyant sur les résultats d’une grande étude internationale sur les allergies et l’asthme (ISAAC) de 1991, ces travaux révèlent que consommer plus de 3 repas de fast-food par semaine, augmenterait les risques d’asthme sévère de 39% et de 27% les ‘allergies sévères chez les enfants de 6 à 7 ans. Les chercheurs soulignent cependant qu’il ne s’agit pas d’un lien de cause à effet mais d’une association statistique qui doit faire l’objet de travaux supplémentaires. Bénédicte Leynaert, chercheuse Inserm peut vous apporter un éclairage scientifique sur ces travauxBénédicte LEYNAERT
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