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Eclipse solaire du 20 mars : des dangers pour la rétine

Le vendredi 20 mars 2015, l’éclipse partielle du soleil sera visible en France entre 9h et 12h, selon le lieu d’observation. Pourquoi regarder directement le soleil est-il dangereux et entraine des dommages irréversibles pour la rétine? Des chercheurs de l’Inserm spécialistes à l’Institut de la Vision (Inserm/CNRS/UPMC) peuvent répondre à vos questions.

Le Ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche (M.E.N.E.S.R) rappelle les risques oculaires auxquels expose une observation directe du soleil. Ils sont de deux natures :

–   lésions cornéennes à type de kératite, liées essentiellement aux ultraviolets, douloureuses mais réversibles en quelques jours ;

–   lésions rétiniennes à type de brûlures rétiniennes liées à l’effet thermique du rayonnement solaire et à un effet photochimique sur les cellules rétiniennes particulièrement fragiles. Ces lésions peuvent altérer définitivement la vue.

La Direction Générale de la Santé recommande aux personnes qui souhaitent observer l’éclipse partielle de soleil du 20 mars 2015 dans de bonnes conditions de sécurité, de se munir de moyens de protection adéquats pour une observation directe du soleil.


Pic du Midi – Hautes-Pyrénées par eclipse-20-mars-2015-CNRS

 

Lire les recommandation sur le site du ministère

 

 

Junon : le secret de l’ovule enfin révélé

Une équipe de chercheurs du Wellcome Trust Sanger Institute a identifié, au terme d’une dizaine d’années de recherche, Junon, une protéine située sur la membrane de l’ovule qui permet au spermatozoïde de le reconnaître. Sa présence, tout comme celle d’Izumo (son pendant sur le spermatozoïde), est essentielle à la fécondation. De leurs interactions dépend la fusion puis la formation de l’embryon. 

Ces travaux, publiés mercredi 16 avril dans la revue Nature, pourraient contribuer à améliorer les traitements contre l’infertilité et à développer de nouveaux contraceptifs.


Des chercheurs de l’Inserm sont à votre disposition pour répondre à toutes vos questions sur cette découverte
(cf. « Contact chercheur »).

Mise au point d’un pancréas bio-artificiel

Les chercheurs du consortium européen BIOSID ont mis au point un pancréas bio-artificiel capable de produire directement de l’insuline dans l’organisme de patients atteints de diabète de type 1, et qui devrait être testé chez l’homme d’ici 2015. Les essais seront menés par l’équipe d’Eric Renard, chercheur au sein de l’unité Inserm 661 « Institut de génomique fonctionnelle », au sein du CHU de Montpellier et également par l’université d’Oxford.

Les troubles de la fertilité- Etat des connaissances et pistes pour la recherche

©Fotolia

L’infertilité est un sujet qui touche de plus en plus de couples. Les données sur l’infertilité des couples en France sont partielles ou incertaines. Il est nécessaire de construire un système de suivi de la fertilité, en s’appuyant notamment sur des enquêtes spécifiques et répétées ainsi que sur l’introduction systématique de questions appropriées dans les enquêtes démographiques ou épidémiologiques consacrées à la reproduction et à la contraception.

On peut estimer que la proportion de couples restant sans grossesse au bout d’un an est actuellement de l’ordre de 15 à 20 %. Mais cela ne veut pas dire que les couples sont infertiles. Les données suggèrent que, dans l’hypothèse basse, on pourrait estimer à 3 % la proportion de couples totalement stériles alors que dans l’hypothèse haute on pourrait compter 15 % de couples stériles.

Un rapport sur l’état des connaissances sur les troubles de la fertilité a été rédigé par un groupe d’experts présidé par M.Alfred Spira et sera présenté le 20 février à l’Assemblée nationale.

Il a semblé utile au groupe de travail réuni à cet effet, d’établir un état des lieux des connaissances disponibles concernant l’ensemble des troubles de la fertilité humaine, c’est-à-dire des difficultés à concevoir et des moyens mis en oeuvre pour leur prévention et leur traitement.

Les troubles de la fertilité- Etat des connaissances et pistes pour la recherche

©Fotolia

L’infertilité est un sujet qui touche de plus en plus de couples. Les données sur l’infertilité des couples en France sont partielles ou incertaines. Il est nécessaire de construire un système de suivi de la fertilité, en s’appuyant notamment sur des enquêtes spécifiques et répétées ainsi que sur l’introduction systématique de questions appropriées dans les enquêtes démographiques ou épidémiologiques consacrées à la reproduction et à la contraception.

On peut estimer que la proportion de couples restant sans grossesse au bout d’un an est actuellement de l’ordre de 15 à 20 %. Mais cela ne veut pas dire que les couples sont infertiles. Les données suggèrent que, dans l’hypothèse basse, on pourrait estimer à 3 % la proportion de couples totalement stériles alors que dans l’hypothèse haute on pourrait compter 15 % de couples stériles.

Un rapport sur l’état des connaissances sur les troubles de la fertilité a été rédigé par un groupe d’experts présidé par M.Alfred Spira présenté le 20 février à l’Assemblée nationale.

Il a semblé utile au groupe de travail réuni à cet effet, d’établir un état des lieux des connaissances disponibles concernant l’ensemble des troubles de la fertilité humaine, c’est-à-dire des difficultés à concevoir et des moyens mis en oeuvre pour leur prévention et leur traitement.

17 novembre : Journée mondiale de la prématurité

©Fotolia

Les enfants grands prématurés nés avant 32 semaines d’âge gestationnel (8ème mois de grossesse) représentent 1 à 2% de la totalité des naissances. Ces enfants ont un risque plus élevé de mortalité et de troubles neurologiques à long terme que les enfants nés à terme.

A l’occasion de la journée mondiale de la prématurité, le samedi 17 novembre, l’Inserm met à votre disposition un communiqué de presse sur le projet européen EPICE « Des soins intensifs périnatals efficaces en Europe : traduire les connaissances en pratiques fondées sur les preuves ».

19ème congrès européen de l’obésité à Lyon du 9 au 12 mai 2012

Après Istanbul l’année dernière, le 19e congrès européen de l’obésité (ECO2012) se déroulera cette année à Lyon du 9 au 12 mai.

Les sessions seront organisées autour des thèmes suivants :

  • Environnement et prévention
  • Epidémiologie et aspects intergénérationnels
  • Biologie intégrée
  • Gènes, mécanismes moléculaires et cellulaires
  • Pratique clinique et management multidisciplinaire
  • Obésité de l’enfant

Retrouvez le programme complet sur le site dédié à l’événement :

www.eco2012.org

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