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Monde : 1 décès sur 5 lié à une mauvaise alimentation

Selon un article publié dans The Lancet et relayé par plusieurs médias, en 2017, 11 millions de décès et 255 millions de vies en bonne santé écourtées étaient attribuables à des facteurs de risque alimentaires. Un apport élevé en sel, un faible apport en céréales complètes et un faible apport en fruits sont les principaux excès et carences relevés par l’étude.

A l’Inserm, l’équipe de recherche en épidémiologie nutritionnelle (à l’origine notamment de la mise en place du Nutriscore) s’intéresse de près aux conséquences de l’alimentation sur la santé.

Pour en savoir plus : Mathilde Touvier, directrice de recherche Inserm z.gbhivre@rera.fzou.havi-cnevf13.se

Mise au point de l’Inserm suite aux allégations de fraudes relatives à l’âge de Jeanne Calment

Suite aux allégations de fraude autour de l’âge de Jeanne Calment massivement relayées sur les réseaux sociaux et par les médias, l’Inserm en tant qu’organisme de recherche leader dans le domaine des sciences de la vie et de la santé précise que :

– En 1998, après un travail de recherche de deux années, le docteur Michel Allard de la Fondation Ipsen et Jean-Marie Robine, démographe, chercheur en santé publique à l’Inserm ont publié une lettre dans la revue Science intitulée The Oldest Human.  Leurs résultats basés sur de nombreux documents civils et religieux concluaient à la validité d’un décès de Jeanne Calment à l’âge de 122 ans. Ces deux chercheurs comptent par ailleurs à eux deux, plusieurs centaines d’articles publiés dans des journaux scientifiques à comité de lecture.

–   La contribution des chercheurs Inserm a consisté à étudier la qualité des documents disponibles (état civil, registres paroissiaux, listes de recensement et documents scolaires, militaires ou autres) disponibles dans les archives d’Arles et à les analyser, en particulier sous l’angle de la contribution de facteurs génétiques à la longévité de Jeanne Calment. Ils ont ainsi montré l’existence d’une extraordinaire concentration d’individus longévives dans les ancêtres de Jeanne Calment et de son frère François (Science 1998).

–   L’étude de la Fondation Ipsen, A la recherche du secret des centenaires, pour laquelle Jean-Marie Robine avait mis au point un protocole particulier avec Michel Allard a pour la première fois posé la vérification des âges comme un préalable à toute étude de « centenaires ». Cette enquête pionnière sur l’état de santé et la qualité de vie de personnes très âgées a mis fin à l’utilisation d’échantillons de convenance (convenient samples) et introduit les questionnements et les méthodes les plus modernes de l’épidémiologie dans l’étude du grand âge. Depuis les enquêtes portant sur les centenaires ou sur les nonagénaires s’attachent à être les plus représentatives possibles. On peut citer les enquêtes danoises, italiennes ou japonaises. L’étude en cours Five Country Oldest-Old People (5_COOP), également coordonnée par l’Inserm, repose sur une enquête standardisée qui s’est déroulée de la même façon au Danemark, en France, au Japon, en Suède et en Suisse. Elle montre que tous les centenaires ne sont pas fragiles, déments et/ou dépendants et illustre l’immense variété des états de santé à 100 ans (Herr et al 2018). 

–  L’Inserm propose de s’associer dès maintenant avec la ville d’Arles pour rendre accessible à  l’ensemble de la communauté (Open data) les documents – pour ceux qui ne le seraient pas encore-  utilisés pour valider la durée de vie de Jeanne Calment et les hypothèses génétiques, en les numérisant et en organisant leur mise à disposition.

–   Les chercheurs disposent de 15 heures d’enregistrement de Jeanne Calment, sous la forme d’une trentaine d’entretiens réalisés entre 1992 et 1995. Avant de pouvoir envisager leur mise à disposition à toute la communauté, il est nécessaire de  s’assurer qu’ils ne contiennent pas ou plus d’informations à caractère privé et/ou médical.

–   Toujours dans une démarche de science ouverte, une base internationale de données sur les supercentenaires (plus de 110 ans) dont les âges ont été validés dans 15 pays (dont la France) a été mise en ligne en 2010, à l’occasion de la publication de l’ouvrage Supercentenarians  (www.supercentenarians.org). Elle sera prochainement mise à jour et étendue aux 105-109 ans avec la parution d’un deuxième ouvrage dans la même collection. Le volet français de cette base est alimenté par les chercheurs de l’Inserm et de l’INED.

–  Il n’est pas du ressort de l’Inserm de soutenir une quelconque demande d’exhumation qui ne relève pas de son domaine de compétences.

–   Dans le domaine de la recherche scientifique c’est à celui qui propose une nouvelle hypothèse ou qui prétend avoir trouvé des faits nouveaux que revient la charge de la preuve. Ce n’est pas aux chercheurs de l’Inserm d’étayer la théorie des contestateurs russes. Leurs arguments, s’ils en ont, doivent être soumis à un journal scientifique à comité de lecture à qui revient la responsabilité de valider la robustesse des travaux menés.

Références

Robine J.M., Allard M. The oldest human. Science. 1998. Mar 20;279(5358):1831.

Robine J.M., Allard M. Jeanne Calment: validation of the duration of her life. In: Jeune B, Vaupel JW, editors. Validation of exceptional longevity. Odense monographs on population Aging; 6. Odense: Odense University Press; 1999. p. 145-72.

Herr M., Jeune B., Fors S., Andersen-Ranberg K., Ankri J., Arai Y., et al. Frailty and Associated Factors among Centenarians in the 5-COOP Countries. Gerontology. 2018. Jul 20:1-11.

Maier H., Gampe J., Jeune B., Robine J.M., Vaupel J.W., editors. Supercentenarians. Berlin: Berlin Heidelberg: Springer-Verlag; 2010.

Naissance de bébés génétiquement modifiés ?

2 bébés génétiquement modifiés par la technique CRISP/Cas9 seraient nés selon les propos d’un chercheur chinois soulevant des questions éthiques et scientifiques légitimes.

Pour en savoir plus sur la technique CRISP/Cas9, voici deux vidéos Inserm : l’un explicative et l’autre visant à combattre les idées reçues sur cette technologie.

Par ailleurs, il est possible de joindre Hervé Chneiweiss, président du comité d’éthique de l’Inserm.

Le Prix Nobel 2018 de médecine a été décerné conjointement à James P. Allison et Tasuku Honjo pour leurs recherches sur l’immunothérapie du cancer

Le Prix Nobel 2018 de médecine a été décerné conjointement à James P. Allison et Tasuku Honjo “pour leur découverte dans la thérapie du cancer par l’inhibition de la régulation immunitaire négative.”

L’addiction aux jeux vidéo reconnue lundi par l’Organisation mondiale de la santé

Crédits : AdobeStock

A l’occasion de la publication de la nouvelle classification internationale des maladies (CIM-11) ce lundi 18 Juin 2018, l’OMS a officiellement reconnu l’existence d’un  ” trouble du jeu vidéo”

L’Inserm avait déjà mentionné ce type d’addiction chez les adolescents lors d’une expertise collective de 2014 intitulée “conduites addictives chez les adolescents”

Dans le contexte de l’élaboration du Plan gouvernemental de lutte contre les drogues et les conduites addictives  de 2013-2017, la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (Mildt) avait sollicité l’Inserm pour établir un bilan des connaissances scientifiques sur les vulnérabilités des adolescents (âgés de 10 à 18 ans) à l’usage de substances psychoactives dont la consommation est notable chez les jeunes mais aussi aux pratiques identifiées comme pouvant devenir problématiques, notamment les jeux vidéo.

Ce travail s’appuie sur les données scientifiques disponibles en date du second semestre 2013. Près de 1 400 articles constituent la base documentaire de cette expertise.

Voici ce qui était écrit concernant les jeux vidéo :

  • Pratique des jeux vidéo /Internet

En 2011, parmi les 80 % des 17 ans déclarant avoir utilisé Internet durant les sept derniers jours, environ 1/4 l’utilise entre 2 et 5 heures par jour ; moins d’1/5 entre 5 et 10 heures et 1/10 plus de 10 heures par jour.

Selon les outils de mesure utilisés et les pays, la prévalence d’utilisation problématique d’Internet par les adolescents varierait de 2 à 12 %. En France, en 2011, des premières estimations révèlent que 3 à 5 % des adolescents de 17 ans seraient concernés.

Par ailleurs, 5 % des adolescents de 17 ans joueraient aux jeux vidéo entre 5 et 10 heures par jour. Si les garçons totalisent des durées moyennes de pratique des jeux plus élevées que les filles, le temps passé devant l’écran est identique, les filles utilisant davantage les réseaux sociaux.

Alors que les jeux vidéo peuvent présenter des aspects positifs, notamment sur le développement des fonctions cognitives et spatiales, ils peuvent entraîner une perte de contrôle et un comportement problématique. Parmi les différents types de jeux, les MMORPG (Massive Multiplayer Online Role Playing Games) auxquels les garçons jouent le plus souvent, sont décrits comme potentiellement très addictogènes.

Parmi les joueurs (tous types de jeux vidéo) de 17 ans, 26 % disent avoir rencontré au cours de l’année écoulée, à cause de leur pratique de jeu, des problèmes à l’école ou au travail et environ 4 % des problèmes d’argent.

Dommages associés

Au-delà du temps passé qui s’avère parfois très long, des problèmes d’ordres psychique et somatique peuvent survenir en cas d’usage excessif : troubles du sommeil, irritabilité, tristesse, anxiété, isolement, baisse des performances scolaires, difficultés rencontrées avec les parents… Une pratique problématique des jeux vidéo peut favoriser l’usage de substances (tabac, cannabis, alcool, boissons énergisantes…) et augmenter le risque de sédentarité et de surpoids.

 

Ebola, l’Inserm engagé pour combattre l’épidémie

© IRD / Eric Delaporte
Séance de décontamination des soignants après intervention au Centre de traitement Ebola de Conakry en 2015

Selon un dernier bilan publié par l’OMS, au 23/05/2018 le bilan total de l’épidémie d’Ebola dans le nord-ouest de la République Démocratique du Congo à la date du 20 mai est de 27 morts, sur 58 cas confirmés ou suspects. Le risque pour la santé publique peut être considéré comme élevé en raison de l’extension possible en zone urbaine et dans les pays limitrophes.

Retour sur l’engagement de l’Inserm pour combattre cette épidémie.

L’Inserm et ses partenaires d’Aviesan ont mis en place REACTing, un consortium multidisciplinaire rassemblant des équipes et laboratoires d’excellence, afin de préparer et coordonner la recherche pour faire face aux crises sanitaires liées aux maladies infectieuses émergentes.

Côté recherche, une étape déterminante vient d’être franchie, via l’identification de la souche dite Ebola Zaïre comme celle étant à l’origine de l’épidémie qui sévit actuellement en République Démocratique du Congo.

Pour mieux se préparer aux épidémies Ebola et pour contribuer à les contenir à l’avenir, il est également essentiel de poursuivre les recherches sur la stratégie de vaccination afin de prévenir cette fièvre.

En avril 2017, l’Inserm et les Instituts nationaux pour la santé aux États-Unis et la Faculté d’hygiène et de médecine tropicale de Londres en collaboration avec les autorités sanitaires de Guinée et du Libéria, ont lancé un nouvel essai clinique de grande taille portant sur des candidats vaccins contre Ebola, sous l’égide du consortium international PREVAC (Partnership for Research on Ebola VACcination, Partenariat pour la recherche sur la vaccination contre Ebola). Un an plus tard, plus de 2 000 adultes et enfants inclus en Guinée et au Libéria participent à cet essai clinique international.

Mercredi 25 avril 2018 : Journée mondiale de lutte contre le paludisme

Le paludisme est dû à un parasite du genre Plasmodium transmis à l’homme par les piqûres d’un moustique, l’anophèle femelle. Il peut aussi être transmis au cours d’une transfusion sanguine ou entre la mère et l’enfant à la fin de la grossesse.

En 2016, on a estimé le nombre de décès dus au paludisme à 445 000. La moitié de la population mondiale est exposée au risque de développer cette maladie, d’où la nécessité d’agir.

C’est justement afin de sensibiliser le grand public à cette maladie et d’accroître son implication dans la lutte contre le paludisme qu’est organisée chaque année, le 25 avril, la Journée mondiale de lutte contre le paludisme.

Cette année, le thème de la journée est « Prêts à vaincre le paludisme », l’occasion de mettre en avant les travaux de certains chercheurs qui luttent toute l’année pour combattre cette maladie.

Dominique Mazier et son équipe « identification et validation pré-clinique de nouvelles cibles thérapeutiques contre la malaria » (unité Inserm U 1135) s’intéressent au stade hépatique du développement du parasite à l’origine du paludisme. Le développement hépatique du parasite constitue une cible de choix pour un vaccin antipaludique, mais aucun vaccin efficace n’est encore disponible. L’équipe de Dominique Mazier cherche à identifier de nouveaux antigènes parasitaires exprimés durant ce stade, en particulier ceux exprimés à la surface de la cellule hépatique infectée, cible de lymphocytes T CD8+. Ils développent également de nouvelles approches expérimentales afin de caractériser les réponses immunes protectrices impliquant ces lymphocytes T CD8+

Les recherches de Françoise Benoit-Vical, directrice de recherche Inserm, et son équipe au laboratoire de Chimie de Coordination du CNRS, portent sur la compréhension des mécanismes de résistance de Plasmodium à l’artémisinine, le composé essentiel des traitements à visée antipaludique, et sur la recherche de nouveaux médicaments antipaludiques. Ils ont récemment démontré que les parasites résistants à cette classe de médicaments sont également résistants à la plupart des autres médicaments antipaludiques y compris à des composés comportant une structure chimique hybride initialement conçue pour éviter toute résistance.  Ces résultats laissent craindre une résistance croisée généralisée du parasite sur le terrain amenant à une véritable impasse thérapeutique.

L’unité Inserm U1257 « Réponses immunitaires chez les moustiques » de Stéphanie Blandin cherche à comprendre comment les moustiques se défendent contre les parasites afin d’exploiter cette réponse antiparasitaire pour lutter contre la transmission de la maladie.
Dans cette optique, le laboratoire travaille actuellement au développement de deux nouvelles molécules anti-paludiques qui visent à produire des médicaments empêchant la transmission. C’est un enjeu critique de la lutte contre le paludisme, puisque très peu des médicaments actuellement utilisés sont capables d’éliminer les formes du parasite transmissibles aux moustiques. Ainsi, même un individu guéri du paludisme peut conserver pendant une à deux semaines ces formes transmissibles dans le sang, parasites susceptibles d’être ingérés par un moustique lors d’une piqûre et donc de nouveau transmis à un individu.

Pour plus de détails sur la paludisme, consultez le dossier d’informations Inserm sur la thématique.

Pour plus d’informations sur la journée mondiale, consultez la page de l’OMS dédiée à ce sujet.

Semaine de la vaccination 2018

Du 23 au 29 avril 2018 va se tenir la 13ème semaine de la vaccination, campagne annuelle créée par l’Organisation mondiale pour la santé (OMS) qui entreprend de sensibiliser aux enjeux de la protection vaccinale.

Cette année, l’OMS met en avant la vaccination de chaque enfant pour « prévenir les maladies concernées et protéger leur vie ».

En France, cet évènement coordonné par le Ministère de la santé et Santé publique France aura plus particulièrement comme thème la vaccination du nourrisson. Ce sera l’occasion de continuer les actions pédagogiques sur la vaccination dans le contexte de l’extension des obligations vaccinales de l’enfant de moins de deux ans, entrée en vigueur le 1er janvier 2018.

Cette semaine vise à permettre une meilleure compréhension de ce qu’est la vaccination, tout en rappelant qu’elle est la meilleure prévention contre certaines maladies.

Retrouvez la note de l’Inserm qui fait le point sur les connaissances scientifiques relatives à la vaccination.

Le site de l’évènement : https://www.semaine-vaccination.fr/

Site sur la vaccination destiné au grand public : https://www.vaccination-info-service.fr/

Le calendrier vaccinal du ministère : https://solidarites-sante.gouv.fr/prevention-en-sante/preserver-sa-sante/vaccination/calendrier-vaccinal

Pour en savoir plus sur la semaine de la vaccination : https://inpes.santepubliquefrance.fr/semaine-vaccination/index.asp

Maladie de Parkinson : risque accru dans les zones agricoles

© Fotolia

À l’occasion de la journée mondiale Parkinson, une étude publiée dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) suggère un risque plus important de développer la maladie chez les personnes qui vivent dans des cantons agricoles.

Une étude nationale, publiée dans le BEH consacré à l’épidémiologie de la maladie de Parkinson en France et à laquelle participent deux chercheurs Inserm, Sofiane Kab et Alexis Elbaz (Inserm/Santé publique France), s’intéresse à l’incidence de la maladie de Parkinson en fonction des caractéristiques agricoles des cantons français.

Cette étude nationale confirme l’association entre la maladie de Parkinson et l’exposition professionnelle aux pesticides, déjà mise en évidence par plusieurs études, en analysant la base de données du Système national d’information inter-régimes de l’Assurance maladie. Cela a permis de constater que l’incidence de maladie de Parkinson est plus élevée parmi les affiliés à la Mutualité sociale agricole, notamment les exploitants agricoles, que chez les affiliés aux autres régimes d’assurance maladie.
De plus, les résultats suggèrent que l’exposition non-professionnelle aux pesticides liée par exemple à une exposition environnementale pourrait elle aussi accroître le risque de développer la maladie de Parkinson. Le nombre de cas de maladie de Parkinson attribuable à l’exposition aux pesticides dépasserait donc l’exposition professionnelle.

Ces résultats doivent encore être confirmés par des études complémentaires.
Ils tendent néanmoins à confirmer que l’incidence de la maladie de Parkinson chez la population générale est plus élevée dans les cantons les plus agricoles, notamment viticoles.

Semaine du cerveau 2018

Du 12 au 18 mars, à l’occasion de la Semaine du Cerveau 2018, le grand public est appelé à venir découvrir les derniers progrès en neurosciences à travers de nombreux événements gratuits :  conférences, ateliers, expos, projections et rencontres des acteurs de la recherche.

Pour sa 20e édition, la Semaine du cerveau aura lieu dans plus de 100 pays et dans plus de 40 villes en France. Des chercheurs des grands organismes de recherche, d’instituts de neurosciences et du monde hospitalo-universitaire proposeront un programme ludique et varié : expositions, projections de films, spectacles, conférences grand public, ateliers, débats, visites de laboratoires ou encore animations pour les plus petits.

La semaine du cerveau est coordonnée par la Société des neurosciences, en partenariat avec la Fédération pour la recherche sur le cerveau, sous l’égide de l’Alliance européenne Dana pour le cerveau. L’Inserm, INRA, CNRS et le magazine Cerveau & Psycho sont partenaires de l’événement.

 

L’Inserm, partenaire de la Semaine du Cerveau 2018, organise de nombreuses manifestations partout en France, avec l’aide de ses chercheurs et de ses délégations régionales. Le service de presse propose aux journalistes des contacts de chercheurs référents sur l’événement.

Délégation Nord-Ouest

Nacim Betrouni

Chercheur Inserm

U1171 Troubles cognitifs dégénératifs et vasculaires

+33 (0)3 20 44 64 22

anpvz.orgebhav@vafrez.se

 

David Vaudry

Chercheur Inserm

Responsable de l’équipe « Neuropeptides, mort neuronale et plasticité cellulaire »

U1239 Différenciation et communication neuronale et neuroendocrine

+33 (0)2 35 14 67 60

qnivq.inhqel@havi-ebhra.se

 

Délégation Ile de France

Bertrand Nalpas

Chercheur Inserm

Chargé de mission addiction

Département Information scientifique et communication

+33 (0)1 44 23 67 65

oregenaq.anycnf@vafrez.se

 

François Rouyer

Chercheur Inserm

Responsable de l’équipe « Génétique moléculaire des rythmes circadiens »

UMR9197 Institut des neurosciences Paris Saclay (NEURO-PSI)

+33 (0)1 69 82 34 36

ebhlre@vans.paef-tvs.se

 

Véronique Fabre

Chercheuse Inserm

U1130 Neuroscience Paris Seine

Equipe « Système glutamatergique normal et pathologique »

+33 (0)1 44 27 60 68

irebavdhr.snoer@hczp.se

 

Frédéric Laumonnier

Chercheur Inserm

U930 Imagerie et cerveau

Equipe « Neurogénétique et neurométabolomique »

+33 (0)2 47 36 60 62

serqrevp.ynhzbaavre@zrq.havi-gbhef.se

 

Délégation Est

Christian Gachet

Chercheur Inserm

Directeur de l’Unité 949 Biologie et pharmacologie des plaquettes sanguines : hémostase, thrombose, transfusion

+33 (0)3 88 21 25 25

puevfgvna.tnpurg@rsf-nyfnpr.se

 

Délégation Nouvelle-Aquitaine

Philippe Zizzari

Chercheur Inserm

U1215 Neurocentre Magendie

Equipe « Balance énergétique et obésité »

+33 (0)1 40 78 92 22

cuvyvccr.mvmmnev@vafrez.se

 

Deniz Dalkara

Chercheuse Inserm

Responsable de l’équipe « Thérapies géniques et modèles animaux des maladies neurodégénératives »

U968 Institut de la vision

+33 (0)1 53 46 25 32

qravm.qnyxnen@vafrez.se

 

Délégation Occitanie-Pyrénées 

Patrice Peran

Chercheur Inserm

Responsable de l’équipe « DEVIN : Développement et validation de biomarqueurs en IRM et médecine nucléaire »

U1214 TONIC (Toulouse neuroimaging center)

+33 (0)5 62 74 61 96

cngevpr.crena@vafrez.se

 

Délégation Auvergne-Rhône-Alpes

Claude Gronfier

Chercheur Inserm

U1208 Institut cellule souche et cerveau

 Equipe « Chronobiologie et troubles affectifs »

+33 (0)4 72 91 34 89

pynhqr.tebasvre@vafrez.se

 

Perrine Ruby

Chercheuse Inserm

U1028 CRNL – Centre de recherche en neurosciences de Lyon

Equipe « DYCOG – Dynamique cérébrale et cognition »

+33 (0)4 72 13 89 21

creevar.ehol@vafrez.se

 

Sébastien Carcinella

Chercheur Inserm

U1216 Grenoble Institut des neurosciences (GIN)

Equipe « Stimulation cérébrale et neuroscience des systèmes »

+33 (0)4 56 52 06 75

fronfgvra.pneavpryyn@hws-teraboyr.se

 

Délégation Occitanie Méditerranée

Isabelle Chaudieu

Chercheuse Inserm

U1061 Neuropsychatrie : recherche épidémiologique et clinique

+33 (0)4 99 61 45 78

vfnoryyr.punhqvrh@vafrez.se

 

Marie Péquignot

Chercheuse Inserm

U1051 Institut des neurosciences de Montpellier : déficits sensoriels et moteurs

Equipe « Génétique et thérapie des cécités rétiniennes et du nerf optique »

+33 (0)4 99 63 60 52

znevr.crdhvtabg@vafrez.se

 

Délégation PACA

Christophe Bernard

Chercheur Inserm

Responsable de l’équipe « Physiologie et physiopathologie des réseaux neuraux »

U1106 Institut de neurosciences des systèmes – INS

+33 (0)4 91 32 42 49

puevfgbcur.oreaneq@vafrez.se

 

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