Le CEA est leader de ce palmarès, le CNRS 5e et l’Inserm 10e organisme mondial.
Ce palmarès se fonde sur une l’intégration de données relevant de la propriété intellectuelle, du nombre de brevets et de publications indexés dans la base de données des plates-formes de Thomson Reuters au cours des 8 dernières années.
Les 25 premières organisations publiques listées sont classées en fonction de 10 critères dont le nombre total de publications recensées, le pourcentage de publications incluant un co-auteur au moins affilié à une entité privée, le volume de brevets enregistrés auprès du WIPO, le taux de « succès » des brevets (leur taux d’application), le pourcentage de dépôt de brevets couvrant à la fois les Etats-Unis, l’Europe et le Japon, ou le taux de citation de brevet (Patent citation Index).
A noter : la Fraunhofer (Allemagne) se classe 2e, l’agence des sciences et technologies du Japon 3e, et le Health & Human Services (HHS), la filiale des NIH et CDC américains en charge des aspects de propriété industrielle, se classe 4e de ce classement
Un classement similaire des universités a été publié l’année dernière par Reuters.
Selon Daniel Verwaerde, administrateur général du CEA, « ce résultat récompense les efforts du CEA pour valoriser le résultat de ses recherches et la reconnaissance internationale dont il bénéficie aujourd’hui. L’impact de nos brevets auprès du monde industriel et commercial est clairement démontré, ainsi que le professionnalisme des équipes en charge de la gestion de cette propriété intellectuelle. »
« Ce classement inédit, international et professionnel, montre à quel point l’innovation et le transfert sont au cœur de la recherche française avec des performances qui démentent les idées toutes faites qui circulent en France », se félicite Alain Fuchs, président du CNRS.
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