Une nouvelle classe de molécules capables d’induire la mort des cellules cancéreuses réfractaires aux traitements standards et responsables des récidives a été conçue par des scientifiques de l’Institut Curie, du CNRS et de l’Inserm.
Des travaux d’une équipe de l’Inserm, du CNRS et de l’Université Grenoble Alpes, montrent pour la première fois un lien entre exposition à des températures élevées pendant la grossesse et les premiers mois de vie et conséquences négatives sur le neurodéveloppement des jeunes enfants.
Une personne sur cinq souffrira de dépression au cours de sa vie, avec un risque suicidaire, responsable de plusieurs milliers de décès par an en France. Une nouvelle étude révèle des résultats prometteurs avec un traitement sur cinq jours consécutifs à l’aide d’ultrasons focalisés de faible intensité modulant l’activité des régions cérébrales profondes impliquées dans la dépression.
Une dégradation de la qualité de la peau, de sa capacité à cicatriser, et de son vieillissement normal, est souvent observée chez les personnes présentant une hyperglycémie chronique. Une équipe de chercheuses et chercheurs de l’Inserm, de l’université de Bordeaux et de LVMH Recherche, s’est intéressée à la façon dont l’hyperglycémie altère le derme humain et en particulier les cellules impliquées dans sa cicatrisation, les fibroblastes.
La lutte contre le VIH reste un défi majeur de santé publique, principalement en raison de la persistance de réservoirs viraux qui nécessitent un traitement antirétroviral à vie. Cependant, certaines personnes, appelées "contrôleurs post-traitement", parviennent à maintenir une charge virale indétectable même après l'arrêt du traitement. Des chercheurs sont parvenus à identifier des caractéristiques génétiques immunitaires particulières d’un groupe de ces personnes.
À l’heure de la diffusion massive de fausses informations, il est plus que jamais essentiel de créer des espaces d’échange et de réflexion pour rendre visible la parole scientifique. L’Inserm vous invite à InScience du 12 au 25 mai 2025, un festival immersif et interactif, conçu pour rapprocher la science des citoyens et citoyennes et encourager un dialogue ouvert entre les chercheurs et chercheuses et le grand public.
Alors que le glioblastome est une tumeur cérébrale très agressive qui laisse aujourd’hui peu d’espoir de guérison, des chercheurs du laboratoire CANTHER (CNRS / Inserm/ Université de Lille / CHU de Lille / Institut Pasteur de Lille) et du Laboratoire de Bioimagerie et Pathologies (CNRS / Université de Strasbourg) sont parvenus à identifier différentes formes de cette tumeur et à les cartographier précisément en analysant l’activité des facteurs de...
Comment prédire la réaction du cerveau lors d’une lésion localisée ou d’une intervention thérapeutique ciblée ? Une équipe de chercheurs de l’Inserm, du CNRS et d’Aix-Marseille Université est parvenue à créer un modèle innovant, permettant de visualiser chez la souris l’impact d’interventions ou de lésions ciblées sur le fonctionnement global du cerveau.
Alors qu’il n’existe toujours pas de traitement qui s’attaque aux causes du SOPK, des scientifiques de l’Inserm, du CHU de Lille et de l’université de Lille ont réussi à empêcher l’apparition de ses principaux symptômes – tels que l’infertilité et les troubles métaboliques entraînant une prise de poids – chez des souris.
Des mélanges d'additifs alimentaires se retrouvent dans nos assiettes quotidiennement, particulièrement via les aliments ultra-transformés. Dans une nouvelle étude, des chercheurs et des chercheuses de l’Inserm, d’INRAE, de l’Université Sorbonne Paris Nord, de l’Université Paris Cité et du Cnam, regroupés au sein de l’Équipe de recherche en épidémiologie nutritionnelle (Eren-Cress), ont pu étudier les possibles liens entre l’exposition à des mélanges d'additifs alimentaires couramment consommés et la survenue de...
Des équipes menées par Vincent Bouteloup, biostatisticien au CHU de Bordeaux et doctorant au Bordeaux Population Health ont réalisé une étude afin d’évaluer la valeur prédictive positive du biomarqueur sanguin ptau-217, c’est-à-dire la probabilité qu’un patient ayant un dosage anormal de ce biomarqueur présente effectivement des lésions de maladie d’Alzheimer dans son cerveau.