Des chercheurs de l’université et du CHU de Bordeaux, de l’Inserm et d’Inria publient des estimations sur l’efficacité des mesures restrictives (confinement, couvre-feu…) et de la politique vaccinale à partir d’une modélisation mathématique des données françaises.
Les équipes de l’hôpital Saint-Antoine AP-HP, de l’hôpital Saint-Louis AP-HP, de Sorbonne Université, de l’Inserm et d’Université Paris Cité, coordonnées par Judith Leblanc, le Pr Anne-Claude Crémieux et le Pr Jérôme Le Goff, ont évalué l’intérêt d’un dépistage intensifié du SARS-CoV-2 par les équipes infirmières dans les services d’urgences d’Île-de-France.
Les équipes du service de médecine interne de l’hôpital Henri-Mondor AP-HP, de l’Institut Necker – Enfants malades, de l’institut Mondor de Recherche Biomédicale, de l’institut Pasteur, de l’Inserm, et de l’Université Paris-Est Créteil ont étudié la mémoire immunitaire après infection par le variant Omicron BA.1 chez des patients vaccinés avec trois doses du vaccin Covid-19 à ARN messager.
Plusieurs mois après une infection par le SARS-CoV-2, certains patients présentent encore des symptômes. Ce phénomène est communément appelé « Covid long ». Dans de nouveaux travaux, des équipes de recherche de l’Inserm et d’Université Paris Cité en collaboration avec l’université de Minho à Braga (Portugal), ont montré qu’il pourrait s’expliquer biologiquement par des anomalies du système immunitaire associées à la présence persistante du virus dans les muqueuses de l’organisme.
Une grande partie de la population a développé une immunité contre le SARS-CoV-2 suite à une infection et/ou à la vaccination. En outre, certains patients infectés bénéficient d'une immunité dite « hybride » lorsqu’ils ont été vaccinés après leur épisode infectieux
Dans les lieux à forte densité de population, comme dans les aéroports ou les gares, la distanciation sociale peut difficilement être maintenue et le risque de transmission des maladies infectieuses est accru. Afin de réduire ce risque, il est essentiel de mieux comprendre les dynamiques de transmission dans ces espaces et les mesures d’atténuation efficaces qui peuvent être mises en place à moindre coût.
Une étude internationale impliquant une équipe de l’Université McGill à Montréal et pilotée par des scientifiques de l’Université Paris-Saclay, de l’Inserm et de l’Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines au sein du Centre de recherche en épidémiologie et santé des populations (CESP - Inserm / Université Paris-Saclay / UVSQ) à partir de données de la cohorte EpiCov, vient de livrer des premiers résultats. Ceux-ci montrent une augmentation de la fréquence des...
L’équipe du laboratoire de génétique humaine des maladies infectieuses de l’hôpital Necker-Enfants malades AP-HP, de l’Inserm, d’Université Paris Cité au sein de l’Institut Imagine, à la tête du consortium international COVID Human Genetic Effort (www.covidhge.com) coordonné par le Pr Jean-Laurent Casanova et le Pr Laurent Abel, a découvert des défauts génétiques responsables du syndrome inflammatoire multi-systémique de l’enfant (MIS-C), à la suite d’une infection par le SARS-CoV-2.
La Direction de la recherche, des études et de l’évaluation des statistiques (DREES), le Centre d’épidémiologie des causes médicales de décès de l’Inserm (CépiDc-Inserm) et Santé Publique France (SpFrance) analysent les causes médicales de décès des personnes résidentes et décédées en France en 2020. Ces travaux s’appuient sur la statistique nationale des causes de décès produite par le CépiDc-Inserm à partir du recueil exhaustif et de l’analyse des volets...
Dans une nouvelle étude, des scientifiques de l’Inserm et de l’Université de Montpellier à l’Institut de Recherche en Cancérologie de Montpellier, en collaboration avec le CHU de Montpellier, ont mis en lumière le rôle éventuel de la dérégulation d’une partie de la défense immunitaire innée. Ils suggèrent notamment que la production de « pièges extracellulaires de neutrophiles », un mécanisme de défense de première ligne contre les pathogènes, pourrait avoir un rôle...