Une équipe de chercheurs du CEA, de l’Inserm, des universités Paris-Sud et Paris Diderot a montré qu’une exposition à des faibles doses d’irradiation (0.02 Gy) entraîne une perte de fonction des cellules souches hématopoïétiques (CSH). Cette équipe montre aussi qu’une irradiation à cette faible dose facilite la prise de greffe de moelle osseuse sans myéloablation . Ces résultats, parus dans Cell Reports le 26 septembre 2017, montrent à...
4% des patients atteints d’un cancer du poumon non à petites cellules (CBNPC) sont porteurs du réarrangement de gène ALK. Les chercheurs de Gustave Roussy, de l’Inserm et de l’Université Paris-Sud démontrent que l’on peut aujourd’hui prédire l’efficacité de leur traitement (crizotinib) grâce à deux prélèvements sanguins. Ces prises de sang (avant et 2 mois après le début du traitement) permettent de mesurer la variation du nombre de cellules...
Des équipes de l’AP-HP, de l’INRA, de Gustave Roussy et de l’Inserm montrent le rôle du microbiote dans la réponse aux immunothérapies du cancer. Elles révèlent que chez l’homme, la composition du microbiote intestinal aide à identifier les malades qui vont répondre favorablement ou non au traitement du mélanome, l’ipilimumab. Cette étude clinique, menée chez 26 patients, suggère qu’une modification de la composition du microbiote intestinal pourrait améliorer l’efficacité...
Dans une étude publiée le 1er avril 2017 dans la prestigieuse revue Cancer Discovery, les équipes de recherche de Gustave Roussy, de l’Inserm et de l’Université Paris-Sud démontrent que l’analyse du portrait moléculaire de la tumeur cancéreuse permet d’identifier la thérapie adaptée et d’améliorer le pronostic des patients face au cancer. MOSCATO, la plus importante étude menée à ce jour en médecine de précision, le prouve pour la première...
Dans un nouvel article des chercheurs de l'Inserm, identifient qu’une molécule d’ARN joue le rôle d’interrupteur moléculaire capable « d’éteindre » ou « d’allumer » la prolifération des cellules souches cancéreuses dans les cancers du sein.
On sait aujourd’hui utiliser des cellules immunitaires équipées pour cibler et détruire spécifiquement certains lymphomes. Des chercheurs rennais de l'unité MICA[1], en collaboration avec des collègues américains du MSKCC[2], vont plus loin aujourd'hui en démontrant que ces cellules peuvent être utilisées pour introduire dans la tumeur une molécule d’intérêt médical, identifiée en étudiant les altérations génétiques caractéristiques du lymphome. Ces travaux introduisant le concept de "micro-pharmacie" sont publiés dans...
Une équipe Inserm de l’Institut Mondor de recherche biomédicale vient d’identifier un interrupteur clé de la réponse immunitaire et propose une nouvelle piste d’immunothérapie contre les leucémies. Et peut-être d’autres cancers par la suite. Ces travaux sont publiés dans la revue Blood.
Deux espèces bactériennes présentes dans l'intestin boostent l'efficacité des chimiothérapies à base de cyclophosphamide en optimisant l’immunité anti-tumorale induite par ce médicament. C'est ce qu'affirment des chercheurs de l’Inserm, de Gustave Roussy, du CNRS, de l’Institut Pasteur de Lille, et des universités Paris Sud et de Lille dans un article publié le 4 octobre dans la revue Immunity
L’Université Paris Descartes, l’AP-HP, le CNRS et l’Inserm dévoilent une méthode libre de droits qui rend possible l’utilisation à large échelle de l’ADN circulant chez les patients atteints de cancer du poumon et du pancréas. Cette méthode est publiée dans la revue Clinical Chemistry.
Des chercheurs de l’Université Paris Descartes, du CNRS, de l’Inserm, de l’Université Paris-Est Créteil (UPEC) et de l’AP-HP ont montré que l’analyse de modifications épigénétiques pourrait être utilisée comme marqueur universel pour le suivi de l’ADN tumoral circulant dans le sang des patients atteints de cancer colorectal. Cette étude repose sur l’analyse de l’hyperméthylation de deux gènes (WIF1 et NPY) par une méthode d’avant-garde : la PCR1 digitale en...