Deux études, l’une théorique, l’autre biologique et clinique, menées par Nicolas Foray, radiobiologiste au sein de l’Unité mixte de recherche 1052 "Centre de Recherche en Cancérologie de Lyon" (Inserm/CNRS/Centre Léon-Bérard/Université Lyon I), viennent d’être publiées dans les revues International Journal of Radiation Biology et International Journal of Radiation Oncology. Ces deux études permettent de mieux comprendre les effets secondaires indésirables de la radiothérapie. Elles proposent une nouvelle théorie...
Les chercheurs de l'unité 1138 "Immunologie et cancérologie intégratives" (Inserm, Universités Pierre-et-Marie-Curie et Paris-Descartes) ont analysé les tumeurs de 838 patients atteints d'un cancer colorectal, afin d'identifier des marqueurs de leur potentiel métastatique. Les caractéristiques génomiques des cellules cancéreuses semblent peu pertinentes. En revanche, la vascularisation lymphatique autour de la tumeur et l'intensité de la réponse immunitaire du patient semblent déterminantes, et pourraient servir de marqueurs prédictifs de l'évolution...
Les chercheurs de l'Unité 1018 "Centre de recherche en Epidémiologie et Santé des Populations" (Inserm/Université Paris-Sud) à Gustave Roussy se sont intéressés à la proportion de cancers du sein attribuables à différents facteurs de risque. L’analyse, menée auprès de 67 634 femmes de la cohorte française E3N, montre qu'après la ménopause, les cancers du sein sont plus souvent attribuables à des facteurs "comportementaux" tels que l'alimentation déséquilibrée, le surpoids,...
Des chercheurs de l'Unité Inserm 1194 "Institut de recherche en cancérologie de Montpellier" (Inserm/Université de Montpellier/Institut Régional du Cancer de Montpellier) confirment l'intérêt d'un nouveau test permettant d'identifier les patients atteints de cancer qui seront indemnes de séquelles après radiothérapie. Réalisé par une prise de sang chez 500 femmes atteintes d'un cancer du sein traitées dans 10 centres en France et suivies pendant 3 ans, ce test montre que...
Le rôle capital de la flore intestinale dans le succès d’une immunothérapie vient d’être dévoilé dans une étude parue dans la revue Science. Des bactéries intestinales capables d’améliorer la réponse thérapeutique de ce médicament et de diminuer un effet secondaire régulièrement rencontré avec ce traitement, une « colite inflammatoire », ont été identifiées.
Grâce aux travaux menés à l’Institut Curie par l’équipe de Fatima Mechta-Grigoriou, directrice de recherche Inserm, il est désormais envisageable d’identifier, parmi les femmes atteintes de cancer de l’ovaire agressif, celles qui pourraient bénéficier d’une thérapie ciblée prometteuse.
Les équipes Inserm du Pr Jean-Yves Blay et de Christophe Caux à Lyon, de Franck Tirode et d’Olivier Delattre à Paris, viennent de mettre en évidence un nouveau variant génétique de tumeurs non identifiées à ce jour.
Plus qu’à l’origine d’une simple infection, les virus participent souvent au développement de pathologies graves. C’est le cas du cancer du foie qui se développe souvent dans un organe fragilisé par le virus des hépatites B ou C. Les chercheurs de l’Inserm viennent de déterminer le rôle d’un nouveau virus, jusqu’alors non suspecté, dans la survenue d’un type rare de cancer du foie.
Deux équipes de chercheurs de l’Inserm, du CNRS, du Centre Léon Bérard et de l’Université Claude Bernard Lyon 1 ont découvert une molécule qui favoriserait la production de ces cellules souches induites.
Des chercheurs de l’Institut Pasteur et de l’Inserm sont parvenus à augmenter l'afflux des cellules immunitaires vers les tumeurs, afin que le système immunitaire bloque la croissance tumorale.