Des chercheurs de l'Unité Inserm 1194 "Institut de recherche en cancérologie de Montpellier" (Inserm/Université de Montpellier/Institut Régional du Cancer de Montpellier) confirment l'intérêt d'un nouveau test permettant d'identifier les patients atteints de cancer qui seront indemnes de séquelles après radiothérapie. Réalisé par une prise de sang chez 500 femmes atteintes d'un cancer du sein traitées dans 10 centres en France et suivies pendant 3 ans, ce test montre que...
Le rôle capital de la flore intestinale dans le succès d’une immunothérapie vient d’être dévoilé dans une étude parue dans la revue Science. Des bactéries intestinales capables d’améliorer la réponse thérapeutique de ce médicament et de diminuer un effet secondaire régulièrement rencontré avec ce traitement, une « colite inflammatoire », ont été identifiées.
Grâce aux travaux menés à l’Institut Curie par l’équipe de Fatima Mechta-Grigoriou, directrice de recherche Inserm, il est désormais envisageable d’identifier, parmi les femmes atteintes de cancer de l’ovaire agressif, celles qui pourraient bénéficier d’une thérapie ciblée prometteuse.
Les équipes Inserm du Pr Jean-Yves Blay et de Christophe Caux à Lyon, de Franck Tirode et d’Olivier Delattre à Paris, viennent de mettre en évidence un nouveau variant génétique de tumeurs non identifiées à ce jour.
Plus qu’à l’origine d’une simple infection, les virus participent souvent au développement de pathologies graves. C’est le cas du cancer du foie qui se développe souvent dans un organe fragilisé par le virus des hépatites B ou C. Les chercheurs de l’Inserm viennent de déterminer le rôle d’un nouveau virus, jusqu’alors non suspecté, dans la survenue d’un type rare de cancer du foie.
Deux équipes de chercheurs de l’Inserm, du CNRS, du Centre Léon Bérard et de l’Université Claude Bernard Lyon 1 ont découvert une molécule qui favoriserait la production de ces cellules souches induites.
Des chercheurs de l’Institut Pasteur et de l’Inserm sont parvenus à augmenter l'afflux des cellules immunitaires vers les tumeurs, afin que le système immunitaire bloque la croissance tumorale.
Le développement d’une tumeur exerce une pression permanente anormale non négligeable sur les cellules saines avoisinantes. L’équipe CNRS/UPMC/Institut Curie dirigée par Emmanuel Farge, directeur de recherche Inserm à l’Institut Curie, vient de découvrir que cette force pouvait y induire l’expression de gènes tumoraux.
Une collaboration internationale conduite par le Professeur Thomas Baumert met en évidence qu’un anticorps monoclonal spécifiquement dirigé contre la claudine-1, permet de prévenir et de traiter une infection chronique par ce virus dans un modèle animal.
Des chercheurs de l’AP-HP, de l’Inserm, des Instituts Gustave Roussy, Curie et du Centre Oscar Lambret, coordonnés par le Docteur Cécile Thomas-Teinturier du service d’endocrinologie pédiatrique de l’hôpital Bicêtre se sont intéressés à l’impact de certaines thérapeutiques sur la fertilité des femmes qui sont guéries d’un cancer pédiatrique.