Le 28 mars 2011, les chercheurs de l’Unité mixte Inserm 953/ UPMC- Université Pierre et Marie Curie (Recherche épidémiologique en Santé Périnatale et Santé des Femmes et des Enfants), en collaboration avec l’unité Inserm 1027 (Epidémiologie et Analyse en Santé Publique : risques, maladies chroniques et handicaps) et les équipes médicales et de recherche de 26 régions françaises, lancent une nouvelle étude nationale pour mieux connaître le devenir des...
Des chercheurs de l’Institut Pasteur et de l’Inserm viennent d’identifier, dans un modèle animal, les acteurs majeurs et jusque là insoupçonnés responsables du choc anaphylactique. S’ils se confirment dans les études cliniques à venir, ces résultats pourraient avoir des conséquences très importantes sur la prise en charge de cette urgence médicale grave et potentiellement mortelle.
En étudiant chez l’animal l’action de deux antiépileptiques, l’équipe de Yehezkel Ben-Ari de l’unité Inserm 901 "INMED - Institut de neurobiologie de la méditerranée" vient de montrer comment les crises infantiles peuvent s’aggraver au fur et à mesure des répétitions et entraîner une perte d’efficacité des traitements classiques, notamment lorsqu’ils sont pris tardivement.
Une nouvelle classe de médicaments utilisés dans le cadre de la chimiothérapie contre le cancer est également active contre le paludisme
Avoir du flair, une affaire d’expert ? Eh bien oui ! Etre nez n’est pas inné, c’est seulement une question d’entraînement : c’est ce que montrent Jane Plailly, Jean-Pierre Royet chercheurs au laboratoire Neurosciences Sensorielles Comportement Cognition (CNRS/Université Claude Bernard Lyon 1) et Chantal Delon-Martin, chercheur à l’Institut des Neurosciences de Grenoble (Inserm/Université Joseph Fourier).
Des chercheurs de l’Institut Pasteur, du CNRS et de l’Inserm ont démontré qu’une protéine cellulaire connue pour son activité antivirale, APOBEC3A, peut également avoir une activité mutagène sur l’ADN de cellules humaines.
Le ministère de l’Enseignement supérieur de la recherche et le Commissariat général à l’investissement viennent de rendre public les lauréats des appels à projets "Infrastructures nationales de recherche en biologie et santé" et "démonstrateurs préindustriels en biotechnologie" visant à doter la France de grandes infrastructures de recherche d'envergure nationale et très compétitives au plan international.
Des chercheurs de l’Institut de génétique et de biologie moléculaire et cellulaire (IGBMC, UMR 7104 Inserm/CNRS/Université de Strasbourg) viennent de décrire les mécanismes moléculaires par lesquels les contractions de cellules musculaires mettent en marche une machinerie permettant à l’embryon de se développer en s’allongeant.
L’équipe d’Archana Singh-Manoux de l’unité Inserm 1018 a mis en place une collaboration entre la cohorte française GAZEL (quelque 20000 personnes) et la cohorte britannique Whitehall II (environ 10000), afin de mieux comprendre le rôle des comportements de santé dans la genèse des inégalités sociales de mortalité selon les contextes socioculturels.
Un consortium européen de chercheurs (1), dont les équipes françaises de Pierre Ronco, directeur de l’unité mixte de recherche 702 "Remodelage et réparation du tissu rénal" (UPMC / Inserm), Hanna Debiec (Inserm / UPMC) et de Bénédicte Stengel (Inserm / Univ Paris Sud UMR_S 1018) ont identifié des gènes de prédisposition à une maladie du rein : la glomérulonéphrite extramembraneuse.