Une découverte présentée par Raphaël Scharfmann, biologiste Inserm et publiée dans le numéro de septembre de The Journal of Clinical Investigation. C’est une nouvelle première scientifique ! Des chercheurs de l’Insermet du CNRS viennent de créer des cellules β pancréatiques humaines, ces cellules défectueuses dans les deux types de diabète 1 et 2 et si importantes […]
Pour traiter les maladies cardiovasculaires, les chercheurs étudient depuis quelques années une approche prometteuse qui consiste à créer de nouveaux vaisseaux sanguins à partir de vaisseaux préexistants grâce à l’utilisation de facteurs de croissance. Jusqu’à présent, la combinaison adéquate de ces facteurs ainsi que le système de diffusion aboutissant au développement de vaisseaux fonctionnels, n’avaient […]
A travers une étude menée chez l’animal, des chercheurs du CNRS, de l’INRA et de l’Inserm (1) ont mis en évidence, pour la première fois, de telles répercutions au niveau du gène de la leptine, l’hormone régulant satiété et métabolisme.
Grâce à l’étude de patients atteints d’une maladie osseuse rare, l’acrodysostose, des chercheurs de l’unité Inserm 986, Caroline Silve, directrice de recherche à l’Inserm, et Agnès Linglart ont élucidé le défaut moléculaire responsable d’une résistance généralisée à de nombreuses hormones.
L’équipe de Hanna Debiec, chargée de recherche à l’Inserm et Pierre Ronco, directeur de l’unité mixte de recherche 702 "Remodelage et réparation du tissu rénal" (Inserm/UPMC) et chef de service de néphrologie et dialyses de l’hôpital Tenon (AP-HP) a identifié l’albumine bovine, un antigène alimentaire apporté notamment par le lait de vache, comme étant la cause d’une maladie rare du rein chez l’enfant de moins de 5 ans.
Des chercheurs de l’Unité mixte Inserm 698 dirigée par le Dr Jean-Baptiste Michel "Hémostase, bio-ingénierie, immunopathologie et remodelage cardiovasculaires", (Hôpital Bichat-Université Paris Diderot) montrent un lien fort entre les parodontites -inflammations des tissus de soutien des dents-, et le développement d'anévrysmes de l'aorte abdominale (AAA).
Des chercheurs de l’Inserm au sein de l’Unité mixte de recherche Inserm/Université Paris Descartes (Unité 970 "Paris Centre de recherche cardiovasculaire") viennent de montrer que la présence d’anticorps chez des patients ayant subi une greffe de rein provoquait le rétrécissement accéléré des artères de petit et moyen calibre qui fournissent le sang au nouveau rein.
Philippe Le Bouteiller, directeur de recherche au Centre de physiopathologie de Toulouse Purpan (Inserm U1043 / UPS / CNRS UMR 5282), Armand Bensussan, directeur du Centre de recherche sur la peau de l’hôpital Saint-Louis (Inserm U976 / Université Paris Diderot, Sorbonne Paris Cité) et leurs collaborateurs viennent de publier des résultats démontrant, chez l’animal, que l’utilisation d’un anticorps dirigé spécifiquement contre une nouvelle cible thérapeutique fait régresser le développement...
Des chercheurs de l’Institut Pasteur, du CNRS et de l’Inserm ont démontré qu’une protéine cellulaire connue pour son activité antivirale, APOBEC3A, peut également avoir une activité mutagène sur l’ADN de cellules humaines.
Un consortium européen de chercheurs (1), dont les équipes françaises de Pierre Ronco, directeur de l’unité mixte de recherche 702 "Remodelage et réparation du tissu rénal" (UPMC / Inserm), Hanna Debiec (Inserm / UPMC) et de Bénédicte Stengel (Inserm / Univ Paris Sud UMR_S 1018) ont identifié des gènes de prédisposition à une maladie du rein : la glomérulonéphrite extramembraneuse.