Des équipes des services de chirurgie cardiaque et thoracique et de médecine intensive-réanimation de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière AP-HP, de Sorbonne Université et de l’Inserm, ont rapportés les résultats de l’ECMO dans la prise en charge des patients ayant des atteintes respiratoires gravissimes occasionnées par la Covid-19, et l’organisation régionale mise en place par l’Agence régionale de santé d’Ile-de-France pour faire face à la pandémie.
Dans une nouvelle étude, des chercheurs montrent qu’une proportion importante de patients ayant été hospitalisés et suivis dans le cadre de French Covid présentent encore des symptômes 3 et 6 mois après l’infection.
La perte de l’odorat, ou anosmie, est l'un des symptômes précoces les plus fréquents de la Covid-19. Les mécanismes impliqués dans cette anosmie étaient jusqu’ici non élucidés.
Sommes-nous plus exposés au SARS-CoV-2 lors d’un concert doté d’un protocole sanitaire strict que dans notre vie quotidienne ? Voilà la question à laquelle les scientifiques de l’Inserm souhaitent répondre à travers une étude de santé publique promue par l’ANRS | Maladies infectieuses émergentes, en collaboration avec le collectif des professionnels du spectacle DO3ME et avec le soutien de la ville de Marseille et d’Aix Marseille université. Le protocole scientifique...
Les chercheurs de la cohorte ComPaRe (Communauté de Patients pour la Recherche, compare.aphp.fr), dirigée par le Pr Philippe Ravaud, AP-HP / Université de Paris / Inserm, ont utilisé une méthode originale pour développer et valider la première mesure scientifique de la sévérité de la maladie et de son impact sur la vie des patients.
Une combinaison d’anticorps monoclonaux à longue durée d’action (LAAB) développée par AstraZeneca va être évaluée dans l’essai européen DisCoVeRy piloté par l’Inserm qui a pour objectif de trouver un traitement contre la Covid-19.
Des équipes de l’AP-HP, de Sorbonne Université et de l’Inserm à l'Institut Pierre Louis d'Epidémiologie et de Santé Publique, coordonnées par le Dr Youri Yordanov et le Pr Agnès Dechartres, ont évalué les caractéristiques cliniques, le devenir et les facteurs associés à l’hospitalisation ou au décès des patients ambulatoires suivis à l’aide du dispositif COVIDOM.
Suite aux cas de thromboses survenus après la vaccination contre la Covid-19, l’équipe du Pr David Smadja, professeur d’hématologie d’Université de Paris, membre du service d’hématologie de l’hôpital européen Georges-Pompidou AP-HP et directeur d’une équipe de l’unité Inserm 1140 (Université de Paris) a analysé, à la demande du Centre de Pharmacovigilance de l’OMS, près de 2 000 cas signalés dans le monde.
Les formes graves de Covid-19 étant associées à une élévation sérique du taux de nombreuses cytokines inflammatoires, il a été très tôt envisagé de traiter ces patients à l’aide de biothérapies bloquant par exemple l’interleukine-6 ou l’interleukine-1. Une étude récente montre qu’il existe au moins deux profils distincts de réponse cytokinique associée à la Covid-19, ce qui impliquerait donc la nécessité d’une prise en charge hautement personnalisée des patients.
Drawing on epidemiological field studies and the FrenchCOVID hospital cohort coordinated by Inserm, teams from the Institut Pasteur, the CNRS and the Vaccine Research Institute (VRI, Inserm/University Paris-Est Créteil) studied the antibodies induced in individuals with asymptomatic or symptomatic SARS-CoV-2 infection. The scientists demonstrated that infection induces polyfunctional antibodies.