Cet essai démontre pour la première fois l’efficacité et l’innocuité du rituximab pour traiter la maladie.
Le 13 juin dernier, le comité d'éthique de l'Inserm a rassemblé plus d'une centaine de personnes lors de sa journée annuelle. L'occasion pour toutes les personnes présentes de disposer d'un éclairage éthique sur de nombreuses problématiques posées par la recherche biomédicale. Parmi les questions abordées, celle de la technologie CRISPR/Cas9. Le comité d'éthique y consacre un avis alors que les NIH viennent d'obtenir un premier feu vert pour un...
Une équipe internationale, incluant en France, des chercheurs de l'Inserm, du CNRS et de l'Université de Strasbourg réunis au sein de l'IGBMC[1] lève le voile sur les mécanismes moléculaires à l’origine des troubles cardiaques de la dystrophie myotonique, une maladie génétique touchant un individu sur 8 000. Cette nouvelle étude publiée cette semaine dans Nature Communications pourrait contribuer à la découverte d’un traitement.
Les équipes Inserm du Pr Jean-Yves Blay et de Christophe Caux à Lyon, de Franck Tirode et d’Olivier Delattre à Paris, viennent de mettre en évidence un nouveau variant génétique de tumeurs non identifiées à ce jour.
Les chercheurs de l’équipe de Maria-Elena Torres Padilla, directrice de recherche Inserm au sein de l’IGBMC (CNRS/Université de Strasbourg/Inserm) à Strasbourg sont parvenus pour la première fois à obtenir des cellules dites totipotentes, ayant les mêmes caractéristiques que celles des tous premiers stades embryonnaires, des cellules aux propriétés encore plus intéressantes.
Une équipe de l’Institut de génétique et de biologie moléculaire et cellulaire vient de mettre en évidence, à l’échelle atomique, la structure tridimensionnelle du ribosome humain complet et les interactions fines qui y ont lieu.
Des travaux de recherche associant des chercheurs du CNRS, de l’UVSQ et de l’Inserm démontrent le potentiel thérapeutique d’une nouvelle classe d’oligonucléotides de synthèse pour le traitement de la myopathie de Duchenne (DMD) par chirurgie de l’ARN.
Le bisphénol F et le bisphénol S, substituts du bisphénol A dans certaines applications, ont le même effet négatif sur le testicule fœtal humain que celui du bisphénol A. C’est ce que viennent de démontrer René Habert et ses collaborateurs de l’Unité mixte de recherche 967 « Cellules souches, Radiations et instabilité génétique ».
une équipe de l’Institut de biologie de l’École normale supérieure (CNRS/ENS/Inserm)2 vient de décrire comment, chez la paramécie, les types sexuels se transmettent de génération en génération par un mécanisme inattendu. Ils ne sont pas déterminés par la séquence du génome, mais par de petites séquences d’ARN, transmises par le cytoplasme maternel.
Des régions non codantes du génome semblent diminuer la sévérité de deux maladies des globules rouges : la bêta thalassémie et la drépanocytose