Une équipe franco-anglaise (AP-HP, Inserm, UPEC, CEA/Mircen, Oxford Biomedica, Cambridge University) a mené une étude clinique de phase 1/2 de thérapie génique chez des patients souffrant d’une forme évoluée de la maladie de Parkinson. Quinze patients ont pu bénéficier de ce nouveau traitement consistant à injecter un vecteur exprimant les gènes de trois enzymes indispensables à la biosynthèse de dopamine, qui fait défaut dans la maladie de Parkinson. Grâce...
Un essai clinique de phase I/II portant sur une thérapie génique destinée aux enfants atteints de la maladie de Sanfilippo B, une maladie génétique rare, a été lancé en octobre dernier chez un premier jeune patient.
Une ’équipe de recherche Inserm vient de développer une méthode permettant d’observer l’organisation et les mouvements du génome dans le temps et l’espace.
Le dysfonctionnement du cytosquelette, élément constituant de la cellule, est souvent synonyme de pathologies comme l’apparition de métastases. Pour cette raison, c’est une cible d’intérêt pour de nombreuses thérapies. Des équipes du CNRS, de l’Université de Strasbourg et de l’Inserm emmenées par Daniel Riveline[1], Jean-Marie Lehn[2] et Marie-France Carlier[3], ont synthétisé des molécules capables de provoquer une croissance rapide des réseaux d’actine, l’un des composants du cytosquelette.
Une équipe dirigée par Saadi Khochbin au sein de l'unité mixte de recherche 823 "Centre de recherche Institut Albert Bonniot" (Inserm/Université Joseph Fourier) à Grenoble vient de décrire les mécanismes moléculaires permettant la transmission du génome mâle à l'œuf.
Une famille avec de nombreux cancers inexpliqués révèle que certaines prédispositions aux cancers du rein sont liées à des mutations du gène BAP1. Porté sur le chromosome 3, ce gène était déjà connu pour prédisposer à des cancers oculaires (mélanome uvéal) et de la plèvre (mésothéliome). Ces travaux réalisés par Marc-Henri Stern du laboratoire Génétique et Biologie des Cancers (Institut Curie/Inserm U830) en coordination avec le Pr Dominique Stoppa-Lyonnet...
Une nouvelle façon d’appréhender le cancer et de prédire la dangerosité des tumeurs vient d’être présentée par une équipe de scientifiques de l’Institut Albert Bonniot de Grenoble regroupant des chercheurs du CNRS, de l’Inserm et de l’Université Joseph Fourier, en collaboration avec des médecins cliniciens et anatomopathologistes du CHU de Grenoble, et avec le soutien […]
Une équipe de chercheurs de l’Inserm révéle aujourd’hui un rôle inattendu des cellules souches hématopoïétiques : outre leur capacité à assurer le renouvellement continu de nos cellules sanguines ces dernières sont aussi capables de produire, « à la demande » et en urgence, les globules blancs qui permettent à l’organisme de faire face à une inflammation ou une infection.
L’équipe de Patrizia Paterlini-Bréchot publie des résultats dans le diagnostic prénatal non invasif des maladies génétiques, avec comme exemple son application à l’amyotrophie spinale et à la mucoviscidose. Ce test sensible et spécifique à 100% sur un échantillon de 63 femmes est le premier à proposer une alternative à des méthodes dites invasives telles que l’amniocentèse et la biopsie de villosités choriales (BVC)
Un nouveau gène impliqué dans les formes précoces de maladie d’Alzheimer a été découvert