
Today, COVIREIVAC opens the registration process for volunteers to participate in the first large-scale clinical trials in France.
Today, COVIREIVAC opens the registration process for volunteers to participate in the first large-scale clinical trials in France.
A research team from Inserm, Lille University, Lille University Hospital, CNRS, and the Institut Pasteur of Lille, as part of the Lille Immunity and Infection Center, is developing a new vaccine against whooping cough. En utilisant la bactérie entière mais génétiquement modifiée pour supprimer sa toxicité, les chercheurs espèrent pallier les défauts d’efficacité du vaccin actuel en induisant une réponse immunitaire durable et en bloquant la transmission bactérienne entre individus.
Maladie virale à l’origine d’épidémies importantes, principalement en Afrique, la fièvre de la Vallée du Rift (FVR) se transmet du bétail à l’humain. Classée maladie prioritaire émergente par le programme R&D Blueprint de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) en 2015, sa dynamique de transmission avait pourtant jusqu’ici été peu étudiée. Des chercheurs et professionnels de la santé publique de l’Inserm, de Santé publique France et du Cirad avec le soutien du consortium REACTing ont développé un modèle mathématique pour étudier la dynamique de l’épidémie de FVR qui a touché Mayotte en 2018-2019 et quantifier pour la première fois l’impact bénéfique de la vaccination du bétail.
Pourquoi la réponse individuelle à l’infection par le virus SARS-CoV2 varie-t-elle autant d’une personne à l’autre ? Résoudre ce mystère permettrait d’identifier les patients à risque, d’anticiper et d’améliorer leur prise en charge et d’offrir de nouvelles voies thérapeutiques fondées sur une meilleure compréhension de la maladie. L’équipe franco-américaine, dirigée conjointement par Jean-Laurent Casanova et Laurent Abel, a identifié les premières causes génétiques et immunologiques expliquant 15% des forme graves de Covid-19.
Une étude révèle que les patients atteints d’une forme grave de Covid-19 présentent un déficit des fonctions de l’immunité innée des cellules myéloïdes (fraction des globules blancs) comme les polynucléaire neutrophiles, monocytes), associé à un taux très élevé de calprotectine, une protéine pro-inflammatoire de la famille des alarmines, dans le sang. Ces résultats permettent de proposer un test diagnostique susceptible d’identifier rapidement les patients risquant de développer une forme sévère de la maladie et ouvrent la voie à une approche thérapeutique inédite : le blocage du récepteur de la calprotectine, une protéine pro-inflammatoire de la famille des alarmines.
A Marseille-based exploratory research taskforce, named EXPLORE COVID-19, analyzed immune cells in COVID-19 patients at different stages of the disease. The goal of the study was to gain translational insights to better understand the immune response in COVID-19 patients and identify potential targets to fight the viral infection.
As the COVID-19 pandemic continues, finding a treatment to effectively combat the disease remains a major research challenge. Researchers from Inserm, CNRS, Université Claude Bernard Lyon 1 and ENS Lyon at the International Research Center for Infectious Diseases have developed a unique strategy for selecting, evaluating and repurposing existing drugs to assess their efficacy against SARS-CoV-2.