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Une tribune en faveur de la prévention contre le diabète
Un groupe de chercheurs réunis autour de Guy Fagherazzi, épidémiologiste à l’Inserm, publie une tribune, dans Le Monde, intitulée : « Soigner le diabète, c’est bien, le prévenir, c’est mieux ». Ils préconisent d’identifier les personnes à risque de diabète et de « personnaliser au mieux les conseils délivrés selon leur profil, leur mode de vie et leur environnement socio-économique ». Selon eux, les initiatives fondées sur l’amélioration du suivi et du traitement des patients diabétiques sont prometteuses mais « elles ne règlent pas le problème de fond ». Dépister et accompagner les populations à risques, tel le projet proposé par la Caisse nationale d’assurance-maladie, permettrait de « réduire le fardeau financier que représente la prise en charge du diabète », expliquent-ils dans le quotidien.
Le Monde, 30/09
En Bref
Selon une étude, menée par des chercheurs suédois, un
mauvais contrôle de la glycémie augmente le risque de démence, rapporte
Le Figaro. Selon Lyse Bordier, diabétologue à l’hôpital Bégin, «
le cerveau dépend du glucose pour fonctionner et n’en fabrique pas, il n’est donc pas étonnant qu’il existe un lien entre hyperglycémie et troubles cognitifs ».
Le Figaro, 30/09
Le Monde explique que «
les chercheurs font parler les mobiles ». D’après le quotidien, toutes les données pouvant être récoltées à partir des mobiles sont une mine d’informations que les chercheurs, ONG, entreprises et états commencent à exploiter.
Le Monde, 30/09
La Fédération française de cardiologie s’inquiète des
maladies cardiovasculaires qui surviennent chez des femmes de plus en plus jeunes, indique
France Info. Cette tendance s’explique par l’augmentation du tabagisme et de l’obésité, qui touchent en particulier les femmes âgées de 15 à 25 ans d’après l’étude ObEpi réalisée par l’Inserm.
France Info, 29/09
Charlie Hebdo rend compte de la démission de Patrick Petitjean. Le chercheur, chargé d’évaluer les projets au sein de
l’Agence nationale de la recherche, s’oppose à leur politique de
« concentration des financements entre les mains de quelques scientifiques », explique le journal.
Charlie Hebdo, 30/09