La perte de l’odorat, ou anosmie, est l'un des symptômes précoces les plus fréquents de la Covid-19. Les mécanismes impliqués dans cette anosmie étaient jusqu’ici non élucidés.
Grâce à une importante analyse génomique des cancers du foie de l'enfant, l'équipe du Professeure Jessica Zucman-Rossi au Centre de Recherche des Cordeliers (Université de Paris, Inserm, Sorbonne Université), et ses collaborateurs du réseau Hepatobio, ont identifié de nouveaux mécanismes de résistance à la chimiothérapie.
Sommes-nous plus exposés au SARS-CoV-2 lors d’un concert doté d’un protocole sanitaire strict que dans notre vie quotidienne ? Voilà la question à laquelle les scientifiques de l’Inserm souhaitent répondre à travers une étude de santé publique promue par l’ANRS | Maladies infectieuses émergentes, en collaboration avec le collectif des professionnels du spectacle DO3ME et avec le soutien de la ville de Marseille et d’Aix Marseille université. Le protocole scientifique...
Les chercheurs de la cohorte ComPaRe (Communauté de Patients pour la Recherche, compare.aphp.fr), dirigée par le Pr Philippe Ravaud, AP-HP / Université de Paris / Inserm, ont utilisé une méthode originale pour développer et valider la première mesure scientifique de la sévérité de la maladie et de son impact sur la vie des patients.
Une combinaison d’anticorps monoclonaux à longue durée d’action (LAAB) développée par AstraZeneca va être évaluée dans l’essai européen DisCoVeRy piloté par l’Inserm qui a pour objectif de trouver un traitement contre la Covid-19.
A l’âge de 5 ans et demi, 35% des enfants nés extrêmes prématurés, près de 45% des grands prématurés et 55% de ceux nés modérément prématurés auront une trajectoire développementale proche de la normale.
Des équipes de l’AP-HP, de Sorbonne Université et de l’Inserm à l'Institut Pierre Louis d'Epidémiologie et de Santé Publique, coordonnées par le Dr Youri Yordanov et le Pr Agnès Dechartres, ont évalué les caractéristiques cliniques, le devenir et les facteurs associés à l’hospitalisation ou au décès des patients ambulatoires suivis à l’aide du dispositif COVIDOM.
Suite aux cas de thromboses survenus après la vaccination contre la Covid-19, l’équipe du Pr David Smadja, professeur d’hématologie d’Université de Paris, membre du service d’hématologie de l’hôpital européen Georges-Pompidou AP-HP et directeur d’une équipe de l’unité Inserm 1140 (Université de Paris) a analysé, à la demande du Centre de Pharmacovigilance de l’OMS, près de 2 000 cas signalés dans le monde.
Les formes graves de Covid-19 étant associées à une élévation sérique du taux de nombreuses cytokines inflammatoires, il a été très tôt envisagé de traiter ces patients à l’aide de biothérapies bloquant par exemple l’interleukine-6 ou l’interleukine-1. Une étude récente montre qu’il existe au moins deux profils distincts de réponse cytokinique associée à la Covid-19, ce qui impliquerait donc la nécessité d’une prise en charge hautement personnalisée des patients.
Drawing on epidemiological field studies and the FrenchCOVID hospital cohort coordinated by Inserm, teams from the Institut Pasteur, the CNRS and the Vaccine Research Institute (VRI, Inserm/University Paris-Est Créteil) studied the antibodies induced in individuals with asymptomatic or symptomatic SARS-CoV-2 infection. The scientists demonstrated that infection induces polyfunctional antibodies.