- 2021
- Communiqués/dossiers - 15.03.2021
Certains cocktails de pesticides favoriseraient le risque de cancer du sein chez les femmes ménopausées
Certains pesticides utilisés en Europe sont suspectés d’avoir des effets néfastes sur la santé humaine. Ils provoqueraient des perturbations hormonales et auraient également des propriétés carcinogènes, déjà observées en milieu professionnel. Le lien entre l’exposition à ces pesticides via l’alimentation et le cancer du sein dans la population générale est encore peu étudié.
- Communiqués/dossiers - 09.03.2021
Maladie de Charcot-Marie Tooth : une innovation thérapeutique 100 % française à base d’ARN
La maladie de Charcot-Marie Tooth est la maladie neurologique héréditaire la plus fréquente au monde. Elle touche le nerf périphérique et entraine une paralysie progressive des jambes et des mains. . Aucun traitement n’est aujourd’hui disponible pour lutter contre cette maladie.
- Communiqués/dossiers - 04.03.2021
Les cellules cibles du SARS-CoV-2 produisent des molécules antivirales trop tardivement pour empêcher la réplication du virus
Les cellules cibles du SARS-CoV-2 dans les voies respiratoires produisent des molécules antivirales suite à l’infection, mais trop tardivement pour empêcher la réplication du virus.
- Communiqués/dossiers - 02.03.2021
Survivants d’Ebola : des séquelles encore présentes quatre ans après avoir été déclarés guéris
Pour la première fois depuis l’apparition du virus Ebola, des survivants ont été suivis pendant 48 mois au sein d’une cohorte, appelée « PostEboGui ». Même si les symptômes diminuent significativement dans le temps, de nombreux patients présentent encore des séquelles quatre ans après avoir été déclarés guéris. Ceci démontre qu’après la phase aiguë, la maladie à virus Ebola peut présenter une phase chronique longue, soulignant l’importance d’un suivi régulier et prolongé des survivants. L’analyse met également en lumière une corrélation entre l’âge, les types de symptômes développés pendant la phase aiguë de la maladie et les séquelles à long terme.
- C'est dans l'air - 26.02.2021
Mise au point sur l’expertise collective « Essais nucléaires en Polynésie française »
Tahiti © Kazuo Ota on Unsplash L’Inserm peut-il être accusé de négationnisme sur le sujet des essais nucléaires en Polynésie française ? Non. L’Inserm fait partie des très rares organismes de recherche à avoir publié dans des revues scientifiques internationales sur la question des effets des essais nucléaires réalisés par la France. Il s’agit notamment de […]
- Communiqués/dossiers - 25.02.2021
Une toxine à l’origine de dommages à l’ADN retrouvée chez des patients souffrant d’infections urinaires
Les infections urinaires touchent plus de 50 % des femmes, dans certains cas de manière récurrente. La bactérie E. coli est très souvent impliquée dans le développement de ces infections.
- Communiqués/dossiers - 25.02.2021
Des volontaires recherchés pour un essai vaccinal innovant contre le VIH
La mise au point d’un vaccin préventif contre l’infection par le VIH (virus de l’immunodéficience humaine) est une priorité pour lutter efficacement contre la transmission du virus. Le Vaccine Research Institute (VRI, ANRS-Inserm et Université Paris-Est Créteil) lance une campagne de recrutement de personnes volontaires pour participer à un essai de phase I d’un vaccin préventif contre le VIH.
- Communiqués/dossiers - 23.02.2021
Maladie de Huntington : L’alliance de la génomique et de l’intelligence artificielle met en avant un rôle central des pertes de résilience neuronale
La perte des mécanismes de compensation et de résilience neuronale à la maladie de Huntington serait le moteur principal de l’évolution de cette maladie au niveau moléculaire. Publiés dans eLife le 23 février 2021 et basés sur une méthode originale d’apprentissage automatique pour l’analyse précise de gros volumes de données génomiques obtenues dans des modèles de la maladie, ces travaux suggèrent que rétablir la résilience neuronale est une piste thérapeutique importante pour une intervention précoce afin de lutter contre cette maladie.
- Communiqués/dossiers - 23.02.2021
Journée Internationale des Maladies Rares 2021
Trois millions de Français sont concernés par les maladies rares, soit une personne sur 20, certaines d’entre elles ne regroupant que quelques dizaines ou centaines de patients. Cependant, en étudiant les maladies génétiques rares et les gènes impliqués, ces connaissances bénéficient non seulement aux malades atteints, mais, la mise en évidence de la fonction de ces gènes peut permettre de décrypter des mécanismes généraux, souvent non encore décrits. Cela permet donc aussi parfois de porter un regard nouveau sur des maladies bien plus fréquentes. Si l’étude de toutes ces maladies rares reste un travail titanesque, il est essentiel de le conduire, non seulement pour ouvrir de nouvelles pistes thérapeutiques pour les patients concernés, mais également pour en imaginer d’autres, pour d’autres pathologies.
- Communiqués/dossiers - 23.02.2021
Une avancée majeure dans la compréhension de la prédisposition du nouveau-né aux méningites à streptocoque du groupe B
Chaque année à travers le monde, des milliers de nourrissons sont affectés par les méningites à streptocoques du groupe B. Souvent mortelle, la maladie peut aussi entraîner de lourdes séquelles chez les bébés qui survivent. Les adultes sont néanmoins épargnés par ce type de méningite.