La dernière enquête ANRS VESPA2 met en lumière les progrès médicaux obtenus pour les personnes vivant avec le VIH en France et les enjeux à privilégier dans une approche renouvelée des stratégies de prise en charge pour tenir compte de l’augmentation des comorbidités et surtout des besoins sociaux de cette population. Cette enquête, réalisée par des chercheurs de l’Inserm (Unités 912, SESSTIM, Marseille et 1018, CESP Villejuif) avec le...
Claire Hivroz, Directrice de recherche Inserm et ses collaborateurs viennent de montrer comment une protéine spécifique appelée VAMP7 est essentielle au transport des signaux induits par la liaison ligands-TCR.
Des scientifiques de l’Institut Pasteur, de l’Inserm et du CNRS, ont identifié un facteur cellulaire humain impliqué dans la réplication du virus Chikungunya, qui rend compte de la spécificité d’espèce de ce virus.
Des chercheurs de l’Institut Pasteur, du CNRS, de l’Institut Curie et de l’Inserm, ont mis en évidence un mécanisme qui permet à la bactérie Legionella pneumophila de « reprogrammer » l’expression des gènes des cellules qu’elle infecte.
Une équipe de chercheurs de l’Inserm révéle aujourd’hui un rôle inattendu des cellules souches hématopoïétiques : outre leur capacité à assurer le renouvellement continu de nos cellules sanguines ces dernières sont aussi capables de produire, « à la demande » et en urgence, les globules blancs qui permettent à l’organisme de faire face à une inflammation ou une infection.
L’infection par le cytomegalovirus (CMV), un virus de la famille des herpesviridae, passe généralement inaperçue chez un individu sain, mais chez la femme enceinte elle peut être délétère pour le fœtus.
Comment chez certains patients infectés par le VIH des cellules immunitaires parviennent-elles à contrôler l’infection ? Victor Appay, directeur de recherche Inserm et ses collaborateurs sont parvenus à identifier les caractéristiques moléculaires de certains lymphocytes T qui ont la spécificité de détecter et de contrôler le VIH ainsi que ses versions mutantes.
L’équipe du Professeur Thomas Baumert identifie les signaux qui permettent l’entrée du virus de l’hépatite C (VHC) dans les cellules du foie. En montrant que ces signaux jouent également un rôle important pour l'entrée d'autres virus, tels que le virus de la grippe, les chercheurs ouvrent la voie à une possible nouvelle classe thérapeutique
La résistance antimicrobienne représente un problème majeur et grandissant de santé publique du fait d’une raréfaction des antibiotiques disponibles contre les bactéries résistantes. Le projet COMBACTE, qui vient d’obtenir un financement de l’Innovative Medicines Initiative (IMI) à hauteur de 195 millions d’euros, a pour but d’œuvrer au développement de nouveaux antibiotiques et à la mise en place d’une plateforme d’essais cliniques performante, associant recherche privée et publique.
Après avoir suggéré en 2011 que l’urètre est une nouvelle porte d’entrée du VIH, une équipe de l’Institut Cochin (CNRS/Inserm/Université Paris Descartes, avec le soutien de l’Anrs), le confirme aujourd’hui et identifie les cellules et les mécanismes qui sont mis en jeu : ce sont les macrophages, cellules du système immunitaire, présents dans l’ épithélium de l’urètre, qui permettent l’entrée du VIH. Ces travaux, publiés en ligne sur le...