Des équipes des services de chirurgie cardiaque et thoracique et de médecine intensive-réanimation de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière AP-HP, de Sorbonne Université et de l’Inserm, ont rapportés les résultats de l’ECMO dans la prise en charge des patients ayant des atteintes respiratoires gravissimes occasionnées par la Covid-19, et l’organisation régionale mise en place par l’Agence régionale de santé d’Ile-de-France pour faire face à la pandémie.
De nombreuses études scientifiques ont montré l’impact de la pollution atmosphérique sur la santé.
Les mesures de prévention de la transmission du VIH de la mère à l’enfant ont permis d’éviter 1,4 million de contaminations entre 2000 et 2015. Malgré tout, 160 000 cas de VIH pédiatriques ont été dénombrés en 2018.
Des équipes de l’hôpital européen Georges-Pompidou AP-HP, d’Université de Paris, de l’Inserm et de l’hôpital Presbytérien de New-York ont mené des travaux pour démontrer le bénéfice tensionnel de la dénervation rénale endovasculaire par ultrasons focalisés.
Dans une nouvelle étude, des chercheurs montrent qu’une proportion importante de patients ayant été hospitalisés et suivis dans le cadre de French Covid présentent encore des symptômes 3 et 6 mois après l’infection.
Commandée par la MILDECA à l’Inserm, l’évaluation des salles de consommation à moindre risque (SCMR) de Paris et de Strasbourg, dispositifs expérimentaux de réduction des risques et des dommages (RDRD) dédiés à l’accueil et aux soins des usagers de drogues par injection, conclut à des effets positifs en termes de santé publique.
La perte de l’odorat, ou anosmie, est l'un des symptômes précoces les plus fréquents de la Covid-19. Les mécanismes impliqués dans cette anosmie étaient jusqu’ici non élucidés.
Grâce à une importante analyse génomique des cancers du foie de l'enfant, l'équipe du Professeure Jessica Zucman-Rossi au Centre de Recherche des Cordeliers (Université de Paris, Inserm, Sorbonne Université), et ses collaborateurs du réseau Hepatobio, ont identifié de nouveaux mécanismes de résistance à la chimiothérapie.
Sommes-nous plus exposés au SARS-CoV-2 lors d’un concert doté d’un protocole sanitaire strict que dans notre vie quotidienne ? Voilà la question à laquelle les scientifiques de l’Inserm souhaitent répondre à travers une étude de santé publique promue par l’ANRS | Maladies infectieuses émergentes, en collaboration avec le collectif des professionnels du spectacle DO3ME et avec le soutien de la ville de Marseille et d’Aix Marseille université. Le protocole scientifique...
Les chercheurs de la cohorte ComPaRe (Communauté de Patients pour la Recherche, compare.aphp.fr), dirigée par le Pr Philippe Ravaud, AP-HP / Université de Paris / Inserm, ont utilisé une méthode originale pour développer et valider la première mesure scientifique de la sévérité de la maladie et de son impact sur la vie des patients.