À l’heure de la diffusion massive de fausses informations, il est plus que jamais essentiel de créer des espaces d’échange et de réflexion pour rendre visible la parole scientifique. L’Inserm vous invite à InScience du 12 au 25 mai 2025, un festival immersif et interactif, conçu pour rapprocher la science des citoyens et citoyennes et encourager un dialogue ouvert entre les chercheurs et chercheuses et le grand public.
Alors que le glioblastome est une tumeur cérébrale très agressive qui laisse aujourd’hui peu d’espoir de guérison, des chercheurs du laboratoire CANTHER (CNRS / Inserm/ Université de Lille / CHU de Lille / Institut Pasteur de Lille) et du Laboratoire de Bioimagerie et Pathologies (CNRS / Université de Strasbourg) sont parvenus à identifier différentes formes de cette tumeur et à les cartographier précisément en analysant l’activité des facteurs de...
Comment prédire la réaction du cerveau lors d’une lésion localisée ou d’une intervention thérapeutique ciblée ? Une équipe de chercheurs de l’Inserm, du CNRS et d’Aix-Marseille Université est parvenue à créer un modèle innovant, permettant de visualiser chez la souris l’impact d’interventions ou de lésions ciblées sur le fonctionnement global du cerveau.
Alors qu’il n’existe toujours pas de traitement qui s’attaque aux causes du SOPK, des scientifiques de l’Inserm, du CHU de Lille et de l’université de Lille ont réussi à empêcher l’apparition de ses principaux symptômes – tels que l’infertilité et les troubles métaboliques entraînant une prise de poids – chez des souris.
Des mélanges d'additifs alimentaires se retrouvent dans nos assiettes quotidiennement, particulièrement via les aliments ultra-transformés. Dans une nouvelle étude, des chercheurs et des chercheuses de l’Inserm, d’INRAE, de l’Université Sorbonne Paris Nord, de l’Université Paris Cité et du Cnam, regroupés au sein de l’Équipe de recherche en épidémiologie nutritionnelle (Eren-Cress), ont pu étudier les possibles liens entre l’exposition à des mélanges d'additifs alimentaires couramment consommés et la survenue de...
Des équipes menées par Vincent Bouteloup, biostatisticien au CHU de Bordeaux et doctorant au Bordeaux Population Health ont réalisé une étude afin d’évaluer la valeur prédictive positive du biomarqueur sanguin ptau-217, c’est-à-dire la probabilité qu’un patient ayant un dosage anormal de ce biomarqueur présente effectivement des lésions de maladie d’Alzheimer dans son cerveau.
Une nouvelle étude coordonnée par l’Inserm et Sorbonne Université montre comment l'exposition au bruit des habitants du Grand Paris varie en fonction des déplacements et des activités. L'activité de transport joue un rôle majeur dans la pollution sonore subie au quotidien, qui dépasse régulièrement les seuils recommandés par l’Organisation mondiale de la santé.
De nombreux décès par mort subite d’origine cardiaque pourraient être évités grâce à l’intelligence artificielle. En analysant les données de plus de 240 000 électrocardiogrammes ambulatoires, des scientifiques de l’Inserm, de l’Université Paris Cité et de l’AP-HP ont réussi à identifier les patients à risque de faire une arythmie grave pouvant provoquer un arrêt cardiaque au cours des deux semaines suivantes dans plus de 70 % des cas.
L’équipe Inserm dirigée par Thomas Mercher à Gustave Roussy a réussi à modéliser pour la première fois le développement d’une leucémie aiguë myéloïde en partant de cellules souches pluripotentes induites normales. Ces travaux permettent une meilleure caractérisation des mécanismes génétiques et épigénétiques à l'œuvre, et donc une meilleure compréhension de cette maladie au pronostic peu favorable.
Détecter en amont les recherches qui pourraient générer des innovations de rupture et à fort impact et apporter un soutien décisif aux équipes qui s’en emparent : c’est l’objectif du programme Impact Santé porté par l’Inserm. Financé par France 2030, il est doté de 30 millions d’euros pour sa première année.