Les êtres vivants sont capables de réguler leurs réponses comportementales en présence d'un danger potentiel. C'est ce qu'on appelle la discrimination contextuelle. Des chercheurs viennent de découvrir quels sont les neurones impliqués dans ce phénomène.
Un véritable capteur : une équipe de chercheurs de l'Inserm et du CNRS au sein de l'Institut de pharmacologie et de biologie structurale (IPBS, CNRS/Université Toulouse III – Paul Sabatier) a identifié une protéine capable de détecter divers allergènes dans les voies respiratoires à l'origine de crises d'asthme. Cette étude co-dirigée par Corinne Cayrol et Jean-Philippe Girard est publiée dans la revue Nature Immunology le 19 mars 2018. Elle augure des...
Les chercheurs ont pu estimer que le 1er trimestre de grossesse était la période la plus à risque de complications neurologiques graves chez l'enfant à naître.
Des gènes, normalement exprimés uniquement dans l'œil, qui s'activent dans des tumeurs du cerveau ?
Des chercheurs ont mis en évidence le mécanisme responsable de l'installation et du maintien de la douleur chronique et proposent un prototype de traitement innovant avec un effet thérapeutique immédiat et durable.
Les comportements d’addiction aux drogues et la vulnérabilité aux rechutes seraient liés à l’aptitude de notre cerveau à produire de nouveaux neurones.
Des chercheurs ont découvert que, si un tatouage peut être éternel, ce n’est pas le cas des cellules de la peau porteuses de son pigment. Celles-ci transmettent ce pigment à de nouvelles cellules lorsqu’elles meurent. Agir sur ce processus pourrait améliorer les techniques d'effacement de tatouages actuelles réalisées par laser. Cette étude est publiée le 6 mars 2018 dans le Journal of Experimental Medicine
Grâce à un travail coordonné par l'Inserm, les carnets de santé distribués à partir du 1er avril 2018 contiendront de nouvelles courbes de croissance de référence.
Promue par l’Inserm, cette étude montre, à 30 mois de suivi, que la présence de lésions amyloïdes (lésions Alzheimer) n’a pas d’impact sur la cognition et le comportement des sujets qui en sont porteurs.
La consommation excessive d’alcool est associée à un triplement du risque de démences en général et un doublement de celui de développer la maladie d’Alzheimer, ce qui en ferait un facteur de risque modifiable majeur pour ces maladies. Telle est la conclusion d'une étude de l'Inserm