- 2018
- C'est dans l'air - 24.05.2018
Ebola, l’Inserm engagé pour combattre l’épidémie
Selon un dernier bilan publié par l’OMS, au 23/05/2018 le bilan total de l’épidémie d’Ebola dans le nord-ouest de la République Démocratique du Congo à la date du 20 mai est de 27 morts, sur 58 cas confirmés ou suspects. Le risque pour la santé publique peut être considéré comme élevé en raison de l’extension […]
- Communiqués/dossiers - 23.05.2018
5 ans après un AVC bien traité, quels sont les risques de récidive ?
L’équipe du Pr Amarenco, chef du service de neurologie à l’hôpital Bichat Claude-Bernard, AP-HP, professeur à l’université Paris Diderot – Inserm, a étudié le risque de récidive d’un AVC pour des patients ayant bénéficié d’une prise en charge dans les 24 heures suivant la survenue d’un accident ischémique transitoire. Les chercheurs démontrent que de 1 […]
- Communiqués/dossiers - 20.05.2018
Caractérisation de la nature du virus Ebola à l’origine de la 9ème épidémie sévissant actuellement en RDC
La collaboration mise en place entre l’INRB et l’Inserm a permis la caractérisation génétique du virus circulant en RDC et responsable de l’épidémie actuelle. La souche identifiée est la souche dite Ebola Zaire.
- C'est dans l'air - 18.05.2018
Journée européenne de l’obésité
Le Vendredi 18 mai a lieu la journée européenne de l’obésité. Cette journée vise à sensibiliser les référents en santé, aidants et patients sur cette problématique qui touche plus de 650 millions de personnes dans le monde. Le diagnostic de l’obésité s’appuie notamment sur le calcul de l’indice de masse corporelle (IMC) qui permet d’estimer […]
- Communiqués/dossiers - 17.05.2018
Vers une compréhension de l’origine du plus fréquent des troubles de l’infertilité féminine
Des chercheurs de l’Inserm et de l’Université de Lille, ont découvert que le plus fréquent des troubles de la fertilité féminine – le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) – serait causé par la surexcitation de neurones cérébraux. La coupable : une hormone produite par les ovaires, appelée « Hormone anti-müllerienne» (AMH), suproduite chez les femmes souffrant d’un SOPK. Les travaux de l’équipe chez la souris montrent l’importance de l’exposition in utero à des taux anormalement élevés d’AMH dans l’occurrence de la maladie. Ces résultats parus dans Nature Medicine ouvrent la voie à de nouveaux concepts sur l’origine embryonnaire de la maladie ainsi qu’à de nouvelles pistes pour l’élaboration d’un traitement.
- Communiqués/dossiers - 15.05.2018
Mai 68, vécu et raconté par la communauté scientifique française
Mai 1968 a mis la société française en ébullition. La communauté scientifique ne fait pas exception à la règle, cette dernière s’est mise à protester et à réinventer le monde de la science : les universités ont été bloquées, les hôpitaux se sont mis en grève et dans les laboratoires de recherche les vieilles pratiques ont été dénoncées. Découvrez “Mai 68, la science s’affiche”, une série de courts-métrages qui revient sur les évènements qui ont révolutionné le monde universitaire et hospitalier. Une série créée avec le soutien de l’Inserm, en coproduction avec CNRS Images et Schuch productions, en association avec Universcience et avec la participation du Centre national du cinéma et de l’image animée.
- Communiqués/dossiers - 15.05.2018
Pollution atmosphérique en France, un impact sur la santé du fœtus et un coût de 1.2 milliard d’euros pour la société
Des chercheurs Inserm de l’équipe d’épidémiologie des maladies allergiques et respiratoires (EPAR) ont analysé les données sur les risques de naissances d’enfants accusant un retard de croissance liés à la pollution atmosphérique. Cette étude révèle que l’impact de la pollution atmosphérique durant la grossesse ainsi que les répercussions sur l’enfant après la naissance coûtent cher. Le montant pour la société est ainsi estimé à 1.2 milliard d’euros. Ces résultats ont été publiés dans la revue Archives de Pédiatrie de mai 2018.
- Communiqués/dossiers - 14.05.2018
Une nouvelle molécule gélifiante pour la culture de neurones en 3D
Une équipe pluridisciplinaire de chercheurs du CNRS, de l’Inserm et de l’Université Toulouse III – Paul Sabatier a mis au point un hydrogel permettant de cultiver des cellules souches neurales, les faire se développer et se différencier. Ce biomatériau pourrait apporter de nouvelles perspectives pour l’élaboration de modèles cellulaires du tissu cérébral in vitro ou la reconstruction tissulaire in vivo. Ces travaux sont publiés dans la revue ACS Applied Materials & Interfaces le 14 mai 2018.
- Communiqués/dossiers - 14.05.2018
Visualisation en temps réel de l’infection de la muqueuse génitale par le VIH
Le VIH-1 est majoritairement transmis lors de rapports sexuels non protégés. Dans ce cas, le virus pénètre au niveau des muqueuses génitales lors de contacts avec des sécrétions génitales infectées. Une équipe de chercheurs de l’Inserm, du CNRS et de l’Université Paris Descartes à l’Institut Cochin, soutenue par l’ANRS, a observé le processus d’infection d’une muqueuse par le VIH-1 in vitro. Ces observations permettent de visualiser pour la première fois en temps réel la formation de synapses virologiques, ces zones de contact entre les cellules infectées et les cellules épithéliales de la muqueuse génitale. La connaissance précise de la séquence des évènements infectieux est précieuse pour concevoir de nouvelles approches thérapeutiques visant à bloquer la formation des réservoirs viraux au niveau des muqueuses. Ces résultats sont publiés le 8 mai 2018 dans la revue Cell Reports.
- Communiqués/dossiers - 03.05.2018
L’organisation du microbiote intestinal régie par les anticorps
Dans un travail publié dans la revue Science Translational Medicine, Guy Gorochov et son équipe du centre de recherche CIMI (Inserm / Sorbonne Université) et du département d’Immunologie de l’hôpital Pitié-Salpêtrière, AP-HP, révèlent que nos anticorps IgA jouent un rôle de chef d’orchestre du microbiote intestinal. Ils préviennent effectivement la colonisation intestinale par la flore buccale et favorisent la présence de certaines bactéries, totalement innocentes d’un point de vue infectieux, mais jouant un rôle bénéfique.