- 2018
- Communiqués/dossiers - 15.02.2018
Consommation d’aliments ultra-transformés et risque de cancer
Une nouvelle étude associant des chercheurs de l’Inserm, de l’Inra et de l’Université Paris 13 (Centre de recherche épidémiologie et statistique Sorbonne Paris Cité, équipe EREN) suggère une association entre la consommation d’aliments ultra-transformés et le sur-risque de développer un cancer.
- Communiqués/dossiers - 14.02.2018
Une nouvelle technique hybride d’imagerie médicale non invasive ultra performante
Actuellement en pleine ébullition, l’imagerie médicale pourrait bien avoir trouvé une technique inédite permettant d’observer de multiples facettes du vivant en temps réel et de manière non invasive. Des équipes de chercheurs ont obtenu des images en trois dimensions où l’anatomie, le métabolisme, la fonctionnalité et même l’élasticité des organes sont parfaitement superposés. Ces travaux font la couverture de la revue Nature Biomedical Engineering le 6 Février.
- Communiqués/dossiers - 08.02.2018
Horloge biologique : à chaque organe, son rythme
Une équipe de chercheurs de l’Inserm dirigée par Howard Cooper (Unité Inserm 1208 ” Institut cellule souche et cerveau”) en collaboration avec des collègues américains fournit pour la première fois une cartographie inédite de l’expression des gènes, organe par organe, et selon le moment de la journée ; un travail colossal commencé il y a dix ans et qui a nécessité deux ans d’analyse. Ces résultats publiés dans Science montrent combien il est important de tenir compte de l’horloge biologique pour administrer les médicaments au bon moment afin d’améliorer leur efficacité et d’en réduire les effets indésirables. Les chercheurs préparent désormais un atlas qui sera disponible pour l’ensemble de la communauté.
- Communiqués/dossiers - 08.02.2018
Migraine : ces zones du cerveau que l’on croyait indolores
Aurait-on cru à tort depuis 70 ans que certaines zones du cerveau étaient insensibles à la douleur ? C’est ce que laissent penser les résultats d’une équipe de chercheurs de l’Inserm, du CHU de Nice, d’Université Côte d’Azur et de l’hôpital St Anne à Paris. En collectant des observations de douleurs brèves lors de chirurgies du cerveau sur patients éveillés, les chercheurs ont pu observer que certaines structures, jusqu’alors considérées comme indolores, étaient à l’origine de sensations douloureuses lorsqu’elles étaient stimulées mécaniquement. Ces observations, publiées prochainement dans la revue Brain, ouvrent de nouvelles pistes à explorer dans le traitement des maux de tête et de la migraine en particulier.
- C'est dans l'air - 02.02.2018
Etats généraux de la bioéthique 2018 : « Quel monde voulons-nous pour demain ? »
Qu’est-ce que les Etats généraux de la bioéthique ? Prévus par la loi de bioéthique de 2011 et en amont de sa révision en 2018, les Etats généraux de la bioéthique se tiendront du 18 janvier au 7 juillet 2018. Ils ouvrent, à l’échelle nationale, un débat public organisé par le CCNE (Comité national d’éthique pour […]
- Communiqués/dossiers - 31.01.2018
L’ingéniosité de l’homme à l’épreuve des malignes bactéries
Comment les bactéries font elles pour infecter notre organisme ? Quelles “armes” leur permettent de passer à travers les mailles du filet de notre système immunitaire ? C’est ce que tente de comprendre l’équipe de Thomas Henry chercheur à l’Inserm et ses collaborateurs du CNRS et de l’Université de Lyon regroupés au sein du Centre international de recherche en infectiologie (CIRI) . Dans un travail publié dans la revue Nature Communication les chercheurs se sont intéressés à un composant clé du mécanisme d’évasion des bactéries et trouvé chez l’homme, l’acteur majeur de leur détection.
- Communiqués/dossiers - 19.01.2018
Sommet franco-britannique. Royaume Uni de Grande Bretagne et d’Irlande du Nord. La médecine génomique au cœur de l’accord porté par Aviesan
Devenir le système de soin et de recherche en génomique le plus avancé et compétitif au monde, telle est l’ambition affichée par l’Inserm, ses partenaires d’Aviesan et le Genomics England Ltd lors du sommet franco-britannique du 18 janvier 2018. Un accord a été signé par Yves Levy, Président-directeur général de l’Inserm, et président d’Aviesan en charge du plan gouvernemental France médecine génomique 2025, et Sir John Chisholm, président exécutif de Genomics England Ltd. Cette signature a eu lieu en présence du président de la République, Emmanuel Macron et de Mme Theresa May, Première ministre du Royaume-Uni.
- Communiqués/dossiers - 18.01.2018
Une vie de dengue : de nouvelles cibles antivirales identifiées pour combattre ce virus
Le virus de la dengue – comme tous les autres virus- détourne à son profit de nombreuses fonctions de la cellule hôte pour accomplir son cycle infectieux. Des chercheurs de l’Inserm, du CNRS et de l’Université Paris Diderot viennent d’identifier, pour la première fois, l’ensemble des facteurs cellulaires qui interagissent avec le virus au cours de sa réplication. En apportant la preuve de concept qu’il est possible d’inhiber certaines de ces molécules, les scientifiques ouvrent la voie à la possibilité de nouvelles thérapies antivirales contre la dengue mais aussi contre d’autres virus de la même famille tels que le virus ZIKA ou celui du Nil occidental.
- Communiqués/dossiers - 17.01.2018
L’horloge biologique, un allié de taille dans la lutte contre les maladies inflammatoires ?
Et si la manifestation et la gravité de certaines maladies inflammatoires dépendaient de l’heure qu’il est ? C’est sur cette hypothèse qu’ont travaillé des chercheurs de l’Inserm, de l’Institut Pasteur de Lille et de l’Université de Lille[1], après avoir observé que la gravité et la mortalité de l’hépatite fulminante dépendaient du moment de la journée auquel la pathologie était induite. Leur étude, effectuée sur des souris et sur des cellules humaines, montre que l’action anti-inflammatoire d’une protéine de l’horloge biologique permettrait de prévenir l’apparition de l’hépatite fulminante, d’en atténuer les symptômes et d’augmenter le taux de survie.
- Communiqués/dossiers - 08.01.2018
Attention à la prise soutenue d’ibuprofène chez l’homme
Une étude récente menée par des chercheurs de l’Inserm au sein de l’Irset[1] montre que la prise soutenue d’ibuprofène induit chez de jeunes hommes sportifs un déséquilibre hormonal habituellement rencontré chez l’homme âgé et appelé « hypogonadisme compensé ». Cette situation résulte des effets négatifs de l’ibuprofène sur la production de testostérone, et sur la production de deux autres hormones testiculaires. Ces résultats sont publiés dans Proceedings of the National Academy of Sciences.