Une étude sur la mémoire immunitaire montre la maturation et la persistance de la mémoire immunitaire B contre le virus SARS-CoV-2 au cours du temps.
Quels sont les facteurs prédictifs de l’évolution de la Covid-19 vers une forme grave ? Un an après le début de la pandémie, cette interrogation demeure au cœur des efforts de recherche.
Un essai clinique vaccinal de phase 3 contre la Covid-19 va démarrer à travers la plateforme Covireivac, mise en place sous l’égide de l’Inserm et des CHU, pour centraliser les essais cliniques vaccinaux contre la Covid-19 en France.
Une nouvelle étude souligne que des inégalités d’accès à l’éducation entre les hommes et les femmes pendant la première moitié du XXe siècle serait en partie responsable de la probabilité plus élevée pour les femmes âgées développer une démence, en particulier la maladie d’Alzheimer.
Alors que la pandémie de Covid-19 se poursuit, les scientifiques font chaque jour des progrès notables pour mieux comprendre la transmission du coronavirus SARS-CoV-2 ainsi que la réponse immunitaire qu’il déclenche lors d’une infection. Des chercheurs apportent de nouvelles données concernant les étapes très précoces de la réponse immunitaire.
L'essai clinique Discovery a été initialement lancé en mars 2020 par l'Inserm pour évaluer les traitements possibles contre la Covid-19. Le 13 janvier 2021, les comités de surveillance des données et de la sécurité (DSMB) de l'essai ont évalué toutes les données d’un rapport intermédiaire basé sur 776 patients dont 389 avaient reçu du Remdesivir et 387, des soins standard. L'efficacité du traitement a été évaluée après 15 jours...
Pour faire face à la pandémie de Covid-19, mieux comprendre le virus et accompagner la prise en charge des maladies, les scientifiques de l'Inserm sont plus que jamais mobilisés.
En utilisant les données de l’assurance maladie française qui sont aujourd’hui accessibles à la recherche, des chercheurs ont pu mesurer le recours annuel aux traitements de l’infertilité. Il s’agit de la première estimation au monde réalisée sur une vaste population et prenant en compte tous les traitements de l’infertilité.
Une étude internationale impliquant plusieurs équipes de l’Université de Yale (USA), de l’Institut du Cerveau (Sorbonne Université/Inserm/AP-HP/CNRS) et de l’hôpital Pitié-Salpêtrière AP-HP confirme la capacité du SARS-CoV-2 à infecter les neurones et en identifie plusieurs conséquences.
Les perturbateurs endocriniens peuvent potentiellement devenir plus nocifs s’ils sont mélangés. Dans le prolongement de travaux de recherche publiés en 2015, des chercheurs poursuivent le décryptage des mécanismes moléculaires qui contribuent à ce phénomène, connu sous le nom d’« effet cocktail ».