Retour sur 6 années d’un programme original conçu par une équipe de chercheurs à destination de lycéens de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur.
A l’Institut Curie, des médecins et des chercheurs de l’Inserm viennent de mettre en évidence une "signature ADN" – un ensemble d’altérations du matériel génétique – prédictive du risque de récidive chez les femmes atteintes de cancer du sein. A partir d’un prélèvement de quelques cellules tumorales, il est désormais envisageable d’identifier les patientes porteuses de cette "signature" et dont le risque de développer des métastases est élevé.
L’équipe de Nicolas Lévy de l’Université de la Méditerranée (Inserm UMR_S 910 "Génétique Médicale et Génomique Fonctionnelle", Faculté de Médecine de Marseille Timone et AP-HM) a identifié un "mini-gène" dysferline naturellement fonctionnel et démontré son efficacité fonctionnelle in vitro et in vivo.
Pour la première fois, l’équipe lilloise démontre la survie et la fonction des cellules pancréatiques greffées par simple injection dans le muscle. Grâce à cette technique originale, les chercheurs sont aussi parvenus à visualiser les cellules greffées avec une nouvelle technique d’imagerie non invasive.
Une équipe de chercheurs et médecins dirigée par Hervé Décousus, directeur du Centre d'investigation clinique - épidémiologie clinique à Saint Etienne et Alain Leizorovicz, directeur de recherche à l’Inserm (Lyon), vient de tester avec succès l’efficacité d’un traitement anticoagulant dans la thrombose veineuse superficielle.
Une étude menée par l’équipe de Florent de Vathaire (Directeur de Recherche Inserm - Université Paris-Sud 11 à l’Institut Gustave Roussy) s’est intéressée à la relation entre la fréquence des cancers de la thyroïde en Polynésie Française et les essais nucléaires atmosphériques menés par la France.
Selon l’étude de population britannique Witehall 2, un patient cardiaque présentant en parallèle des symptômes de dépression augmenterait fortement son risque de décès.
Les chercheurs mettent en évidence pour la première fois une chaîne de réactions déclenchée par le Prozac au niveau des neurones, qui contribue à l’augmentation de sérotonine, un "messager" chimique essentiel au cerveau, et déficitaire chez les personnes dépressives.
Dans le cadre des manifestations scientifiques de la Ville de Paris labélisées "Sciences sur Seine", l’Inserm propose le jeudi 23 septembre deux conférences à bord de la péniche « Charleston » en présence de ses chercheurs.
Pascal Derkinderen, Michel Neunlist, Stanislas Bruley des Varannes et leurs collaborateurs de l’Unité Inserm 913 "neuropathies du système nerveux entérique et pathologies digestives : implication des cellules gliales entériques ", du centre d’investigation clinique et du CHU de Nantes" ont mis en évidence que des anomalies bien connues dans les neurones des malades sont retrouvées à l’identique dans les neurones digestifs.