Des chercheurs du CNRS, de l’Inserm et des universités de Montpellier et de Jean Monnet – Saint-Etienne ont développé un traitement innovant permettant de protéger les souris de la perte osseuse caractéristique de maladies telle que l’ostéoporose
Depuis 2011, près de 7 000 enfants prématurés ont été inclus dans l'étude EPIPAGE 2. Cette étude pour objectif d'évaluer la survie des enfants prématurés nés entre la 22ème semaine et la 34ème semaine d'aménorrhée et leur devenir ultérieur.
Paolo Bartolomeo, Directeur de recherche Inserm, et ses collaborateurs, ont publié les résultats de leurs recherches sur la "négligence spatiale unilatérale" encore connue sous le terme "d’héminégligence".
Une étude s’est intéressée à l’histoire évolutive de la mycobactérie responsable de la tuberculose et plus particulièrement à la lignée Beijing associée à la propagation des formes résistantes aux antibiotiques de la maladie en Eurasie.
L’Université de Nantes, l'Inserm et Thinkovery se sont associés pour produire un MOOC (Massive Open Online Courses) d’un nouveau genre.
Le 21 octobre 2014, le Professeur Philippe Menasché et son équipe du service de chirurgie cardiovasculaire de l’hôpital européen Georges Pompidou, AP-HP ont pratiqué une greffe de cellules cardiaques dérivées de cellules souches embryonnaires humaines
Un projet d'essais cliniques, coordonné par l’Inserm, testant une vaccination préventive contre Ebola vient d'être sélectionné par la Commission Européenne. Le protocole prévoit d'inclure des participants en Europe et en Afrique pour évaluer la réponse immunitaire et la bonne tolérance d'une stratégie vaccinale dite "prime boost" basée sur l'utilisation de deux candidats vaccins développés par Janssen, société pharmaceutique de Johnson & Johnson.
Que signifie, au sens biologique, « être en bonne santé » ? C’est à cette vaste question qu’est consacré le projet du Laboratoire d’Excellence Milieu Intérieur, coordonné à l’Institut Pasteur par le Pr Matthew Albert (unité Immunobiologie des cellules dendritiques, Institut Pasteur/Inserm) et par le Dr Lluis Quintana-Murci (unité de Génétique évolutive humaine, Institut Pasteur/CNRS).
Le bisphénol F et le bisphénol S, substituts du bisphénol A dans certaines applications, ont le même effet négatif sur le testicule fœtal humain que celui du bisphénol A. C’est ce que viennent de démontrer René Habert et ses collaborateurs de l’Unité mixte de recherche 967 « Cellules souches, Radiations et instabilité génétique ».
Une équipe de chercheurs de l'Inserm dirigée par Fanny Mochel et située à l'Institut du cerveau et de la moelle épinière (Inserm/CNRS/UPMC/AP-HP) vient de démontrer le potentiel thérapeutique de la triheptanoïne chez dix patients atteints de la maladie de Huntington.